Présentation
Perissa est un petit village grec située sur la côte ouest de l'île de Santorin, en bordure de la mer Egée. Station balnéaire réputée, Perissa se caractérise par son sable composé de gros grains noirs, qu'elle doit au caractère volcanique de l'île. La ville en elle-même comporte peu d'éléments incontournables ; elle est en revanche entourée de merveilles, notamment lau nord de la plage où la montagne se jette dans la mer. On peut y loger dans les hôtels (compter 75 euros par nuit) ou dans un camping. Différentes activités nautiques peuvent être paratiquées sur place.
La ville de Perissa appartient à la périphérie South Aegean et à la préfecture Cyclades.
Points ou centres d'intérêts
Akrotori est le nom donné à un lieu de l'île de Santorin où se situe l'emplacement de plusieurs chantiers archéologiques, en raison de la proximité du village du même nom, au nord du site. Ces vestiges n'ont été découvert que récemment : c'est en 1967 seulement que l'archéologue Spyridon Marinatos a exploité ces ruines, mises à jour à la fin du XIXème siècles mais oubliées à la suite de découvertes majeures sur l'île de Crète. Ici se trouvait par le passé une ville dont l'influence minoenne est indéniable, bien qu'il soit établi qu'elle ait été fondée par la civilisation des Cyclades. C'est une éruption volcanique qui a coupé court à la prospérité de cette ville, à l'instar de celle, plus connue, qui a ravagé Pompei, expliquant sa conservation exceptionnelle pendant plus de trois millénaires. Aujourd'hui encore, des fresques y sont visibles, dans un état extraordinaire pour leur âge. Ces fresques racontent l'histoire de l'époque où elles ont été peintes et permettent de resituer ces vestiges dans leur contexte économique, culturel et social.
Aujourd'hui encore, une grande partie de la ville demeure enfouie, et deux hectares seulement ont été dégagés.
L'Ancienne ville de Thera domine les alentours, juchée sur un promontoire rocheux à 396 mètres. Sa fondation remonte au IXème siècle avant J.C., sous la civilisation dorienne. Son importance fut relative à ses débuts, bien qu'elle aie fondé une colonie en Libye du nom de Cyrène au VIIème siècle avant J.C. Son influence grandit par la suite, résultant de ses transformations au cours de la période héllénistique, jusqu'à atteindre son apogée lorsqu'elle fut choisie comme base générale de la flotte égyptienne dans la région. Elle déclina lentement par la suite, jusqu'à son abandon au VIIIème siècle après J.C. suite à une éruption du volcan.
Aujourd'hui, on peut y admirer les ruines de la stoa basilique ou de l'église Ayos Stephanos, édifiée au VIIIème ou au IXème siècle. On peut également voir les vestiges de l'Agora, longs de 110 mètres, ainsi que les restes du théâtre, bâti au IIème siècle et possédant une capacité de 1500 sièges, largement supérieure à la population de la ville. Il est fort probable que des habitants des villages, voire des îles alentours, s'y soient rendus lors des représentations.
L'île de Néa Kaméni appartient à l'archipel de Santorin et se trouve donc non loin de Perissa, dans la mer Egée. Elle est le berceau de tout l'archipel, puisque c'est ici que se trouve le volcan ayant donnée naissance aux îles alentours. Pourtant, l'île de Néa Karméni en elle-même n'est apparue qu'en 1600 après J.C., ce qui en fait l'une des îles les plus jeunes de la Méditerranée. Le paysage et la composition de l'île s'est modifié de manière plus ou moins importante au cours de ses différentes éruptions. Le point le plus haut de l'île culmine à 150 mètres d'altitude. Du fait du caractère exceptionnel de ce lieu, le plus grand respect de cette nature très récente est demandé de la art des visiteurs.
Pour vous rendre sur l'île de Néa Kaméni, il vous faudra emprunter un bateau ou un caïque (embaracation grecque typique) depuis le port de Fira, pour une traversée d'environ 10 minutes. L'île constitue souvent une simple étape d'une heure et demie à l'intérieur d'une visite plus large de l'archipel. L'entrée sur l'île coûte 2 euros.
La ville de Fira est la principale ville de l'archipel, et compte un peu plus de 200 habitants. Trônant en haut des falaises, elle offre une vue magnifique sur toute la caldeira. Fira a d'abord été occupée par les nobles vénitiens et catholiques, mais elle accueille aujourd'hui une population orthodoxe nombreuse. Il y a différentes choses à voir et à faire dans cette ville : le quartier de Firostefani est à l'origine un village ancien, et les maisons traditionnelles bordant ses rues pittoresques promettent une promenade agréable. D'ici, vous pourrez apercevoir l'île de Néa Kaméni.
A l'intérieur de la ville, vous pourrez passer par la cathédrale orthodoxe avant de vous rendre dans l'un des nombreux musées, pour la plupart historiques et traitant tous d'une période spécifique et des différentes civilisations propres à l'archipel de Santorin.
C'est au départ du port de cette ville que vous pourrez vous rendre sur l'île de Néa Kaméni. Le port, Ormos, peut-être rejoint à pied pour les plus courageux qui ne se laisseront pas effrayer par ses 600 marches, ou par un funiculaire pour les plus pressés. Il est également possible d'y aller à dos de mule.
Santorin étant un archipel, il y a évidemment l'embarras du choix concernant les plages où vous pourriez vous rendre. La plage de Perissa a été décrite plus haut, mais si l'on considère une visite générale de l'île, elle présente l'avantage d'offrir l'opportunité de nombreuses visites et promenades très proches, qui permettent de bouger un petit peu autour de la plage. Non loin de Perissa, la plage de Santorin est appréciée, car elle se trouve entre Kamari et Fira. Généralement plus calme, ses eaux sont claires, profondes et propres, et elle est facilement accessible en bus.
La plage de Kamari, également accessible en bus, se trouve à 10 kilomètres de Fira. Elle est réputée pour l'énorme rocher en plein milieu de l'eau, le Mesa Vouno. La plage dispose de parasols et de chaises longues. La mer peut se révéler profonde plus rapidement qu'à d'autres endroits de l'île, mais cette plage est surveillée par des maîtres nageurs. Vous pourrez également y pratiquer d'autres activités, comme la plongée, le jet ski ou la planche à voile. En bordure de la plage, vous trouverez ce qu'il faut pour vous restaurer ou vous déshydrater, qu'il s'agisse de pizzeria ou de tavernes plus authentiques.
Oia est réputé comme le plus bel endroit de l'île pour admirer un coucher de soleil sur la Méditerranée. Les visiteurs de l'île ne s'y trompent pas et des amoureux comme des touristes y sont présents chaque soir. En face d'eux s'étend la caldeira, et le soleil descend lentement rejoindre les îles au loin avant de s'enfoncer dans la mer Egée. N'hésitez pas à vous retourner, pour admirer le reflet des rayons mourants sur la ville d'Oia et le ballet de couleurs flamboyantes sur les murs des anciens bâtiments de la ville.
La ville de Fira a déjà été décrite plus haut, mais nous allons ici décrire sa cathédrale, incontournable, un peu plus en détails. A l'origine catholique, la cathédrale a été détruite par le tremblement de terre de 1956 et reconstruite : elle est désormais orthodoxe, Fira étant le siège de l'évêché. Dédiée à Saint Jean, c'est l'un des plus beaux édifices religieux de l'île, et le blanc immaculé de ses murs tranche avec le bleu profond de ses dômes, en faisant un exemple type de l'architecture grecque.
Perissa bénéficie, grâce à sa situation volcanique, de sources chaudes sur son territoire. Les sources sont en réalité plus tièdes que chaudes, avec une eau à 27 ou 28 degrés, mais elles se méritent : pour les rejoindre il faut avancer dans la mer, donc passer par de l'eau plus froide. Les sources thermales se situent sur l'îlot voisin du volcan sur Nea Kameni, Palea Kaimeni, et vous pouvez vous y rendre en bateau depuis le port de Fira comme expliqué plus haut.
Attention : évitez les maillots blancs, où ils risquent de se tâcher au contact de ces sources.
Depuis le vieux port de Fira, vous pouvez embarquer sur un bateau pour une visite de l'archipel sur les eaux de la mer Egée. Le trajet en caïque coûte environ 30 euros. Cette croisade vous amènera à Nea Kameni pendant 1h30, à Palaia Kameni pour les sources chaudes entre les deux cratères, pendant trente minutes, puis vous laissera deux heures de temps libre sur l’île de Thirassia, avant de rentrer à Oia en longeant les falaises. Tout au long du voyage, des explications seront fournies dans toutes les langues.
D'autres circuits sont proposés, dont vous trouverez le détail ici : http://aethrio.gr/french/archives/1106
Comment y aller ?
Se rendre à Perissa
En avion
L'île dispose de son propre aéroport, l'aéroport de Santorin. Celui-ci est desservi depuis de nombreuses villes européennes, malheureusement Paris n'organise des vols spéciaux que pendant la haute saison. En basse saison, il faudra donc faire escale à Thira. Le prix des vols oscille autour de 300 euros. Une fois sur place, des bus à destination de Fira sont disponibles, d'où d'autres bus pourront vous emmener dans les villes alentours. Il est également possible de prendre un taxi ou de louer une voiture.
En bateau
Depuis le port de Pirée, il est possible de se rendre sur Santorin en bateau, via une traversée de 12 heures. Six fois par semaine, des bateaux partent de Heraklion, avec un temps de traversée considérablement plus court. Vous trouverez plus d'informations sur les horiares et les prix à cette adresse : http://www.greekislands.gr. Une fois arrivé au port, un taxi vous amènera à Perissa pour 15 euros.
S'y déplacer
En scooter
Il est possible de louer un scooter sur place, qui peut se révéler pratique si vous faites plusieurs courts trajets dans la journée.
En vélo
Le vélo vous permettra de vous aventurer dans les endroits sauvages plus facilement que le scooter.
En âne
Si vous voulez vraiment expérimenter le style de vie local, alors il faudra tester un trajet en mule au moins une fois.
Présentation
Perissa est un petit village grec située sur la côte ouest de l'île de Santorin, en bordure de la mer Egée. Station balnéaire réputée, Perissa se caractérise par son sable composé de gros grains noirs, qu'elle doit au caractère volcanique de l'île. La ville en elle-même comporte peu d'éléments incontournables ; elle est en revanche entourée de merveilles, notamment lau nord de la plage où la montagne se jette dans la mer. On peut y loger dans les hôtels (compter 75 euros par nuit) ou dans un camping. Différentes activités nautiques peuvent être paratiquées sur place.
La ville de Perissa appartient à la périphérie South Aegean et à la préfecture Cyclades.
Points ou centres d'intérêts
Akrotori est le nom donné à un lieu de l'île de Santorin où se situe l'emplacement de plusieurs chantiers archéologiques, en raison de la proximité du village du même nom, au nord du site. Ces vestiges n'ont été découvert que récemment : c'est en 1967 seulement que l'archéologue Spyridon Marinatos a exploité ces ruines, mises à jour à la fin du XIXème siècles mais oubliées à la suite de découvertes majeures sur l'île de Crète. Ici se trouvait par le passé une ville dont l'influence minoenne est indéniable, bien qu'il soit établi qu'elle ait été fondée par la civilisation des Cyclades. C'est une éruption volcanique qui a coupé court à la prospérité de cette ville, à l'instar de celle, plus connue, qui a ravagé Pompei, expliquant sa conservation exceptionnelle pendant plus de trois millénaires. Aujourd'hui encore, des fresques y sont visibles, dans un état extraordinaire pour leur âge. Ces fresques racontent l'histoire de l'époque où elles ont été peintes et permettent de resituer ces vestiges dans leur contexte économique, culturel et social.
Aujourd'hui encore, une grande partie de la ville demeure enfouie, et deux hectares seulement ont été dégagés.
L'Ancienne ville de Thera domine les alentours, juchée sur un promontoire rocheux à 396 mètres. Sa fondation remonte au IXème siècle avant J.C., sous la civilisation dorienne. Son importance fut relative à ses débuts, bien qu'elle aie fondé une colonie en Libye du nom de Cyrène au VIIème siècle avant J.C. Son influence grandit par la suite, résultant de ses transformations au cours de la période héllénistique, jusqu'à atteindre son apogée lorsqu'elle fut choisie comme base générale de la flotte égyptienne dans la région. Elle déclina lentement par la suite, jusqu'à son abandon au VIIIème siècle après J.C. suite à une éruption du volcan.
Aujourd'hui, on peut y admirer les ruines de la stoa basilique ou de l'église Ayos Stephanos, édifiée au VIIIème ou au IXème siècle. On peut également voir les vestiges de l'Agora, longs de 110 mètres, ainsi que les restes du théâtre, bâti au IIème siècle et possédant une capacité de 1500 sièges, largement supérieure à la population de la ville. Il est fort probable que des habitants des villages, voire des îles alentours, s'y soient rendus lors des représentations.
L'île de Néa Kaméni appartient à l'archipel de Santorin et se trouve donc non loin de Perissa, dans la mer Egée. Elle est le berceau de tout l'archipel, puisque c'est ici que se trouve le volcan ayant donnée naissance aux îles alentours. Pourtant, l'île de Néa Karméni en elle-même n'est apparue qu'en 1600 après J.C., ce qui en fait l'une des îles les plus jeunes de la Méditerranée. Le paysage et la composition de l'île s'est modifié de manière plus ou moins importante au cours de ses différentes éruptions. Le point le plus haut de l'île culmine à 150 mètres d'altitude. Du fait du caractère exceptionnel de ce lieu, le plus grand respect de cette nature très récente est demandé de la art des visiteurs.
Pour vous rendre sur l'île de Néa Kaméni, il vous faudra emprunter un bateau ou un caïque (embaracation grecque typique) depuis le port de Fira, pour une traversée d'environ 10 minutes. L'île constitue souvent une simple étape d'une heure et demie à l'intérieur d'une visite plus large de l'archipel. L'entrée sur l'île coûte 2 euros.
La ville de Fira est la principale ville de l'archipel, et compte un peu plus de 200 habitants. Trônant en haut des falaises, elle offre une vue magnifique sur toute la caldeira. Fira a d'abord été occupée par les nobles vénitiens et catholiques, mais elle accueille aujourd'hui une population orthodoxe nombreuse. Il y a différentes choses à voir et à faire dans cette ville : le quartier de Firostefani est à l'origine un village ancien, et les maisons traditionnelles bordant ses rues pittoresques promettent une promenade agréable. D'ici, vous pourrez apercevoir l'île de Néa Kaméni.
A l'intérieur de la ville, vous pourrez passer par la cathédrale orthodoxe avant de vous rendre dans l'un des nombreux musées, pour la plupart historiques et traitant tous d'une période spécifique et des différentes civilisations propres à l'archipel de Santorin.
C'est au départ du port de cette ville que vous pourrez vous rendre sur l'île de Néa Kaméni. Le port, Ormos, peut-être rejoint à pied pour les plus courageux qui ne se laisseront pas effrayer par ses 600 marches, ou par un funiculaire pour les plus pressés. Il est également possible d'y aller à dos de mule.
Santorin étant un archipel, il y a évidemment l'embarras du choix concernant les plages où vous pourriez vous rendre. La plage de Perissa a été décrite plus haut, mais si l'on considère une visite générale de l'île, elle présente l'avantage d'offrir l'opportunité de nombreuses visites et promenades très proches, qui permettent de bouger un petit peu autour de la plage. Non loin de Perissa, la plage de Santorin est appréciée, car elle se trouve entre Kamari et Fira. Généralement plus calme, ses eaux sont claires, profondes et propres, et elle est facilement accessible en bus.
La plage de Kamari, également accessible en bus, se trouve à 10 kilomètres de Fira. Elle est réputée pour l'énorme rocher en plein milieu de l'eau, le Mesa Vouno. La plage dispose de parasols et de chaises longues. La mer peut se révéler profonde plus rapidement qu'à d'autres endroits de l'île, mais cette plage est surveillée par des maîtres nageurs. Vous pourrez également y pratiquer d'autres activités, comme la plongée, le jet ski ou la planche à voile. En bordure de la plage, vous trouverez ce qu'il faut pour vous restaurer ou vous déshydrater, qu'il s'agisse de pizzeria ou de tavernes plus authentiques.
Oia est réputé comme le plus bel endroit de l'île pour admirer un coucher de soleil sur la Méditerranée. Les visiteurs de l'île ne s'y trompent pas et des amoureux comme des touristes y sont présents chaque soir. En face d'eux s'étend la caldeira, et le soleil descend lentement rejoindre les îles au loin avant de s'enfoncer dans la mer Egée. N'hésitez pas à vous retourner, pour admirer le reflet des rayons mourants sur la ville d'Oia et le ballet de couleurs flamboyantes sur les murs des anciens bâtiments de la ville.
La ville de Fira a déjà été décrite plus haut, mais nous allons ici décrire sa cathédrale, incontournable, un peu plus en détails. A l'origine catholique, la cathédrale a été détruite par le tremblement de terre de 1956 et reconstruite : elle est désormais orthodoxe, Fira étant le siège de l'évêché. Dédiée à Saint Jean, c'est l'un des plus beaux édifices religieux de l'île, et le blanc immaculé de ses murs tranche avec le bleu profond de ses dômes, en faisant un exemple type de l'architecture grecque.
Perissa bénéficie, grâce à sa situation volcanique, de sources chaudes sur son territoire. Les sources sont en réalité plus tièdes que chaudes, avec une eau à 27 ou 28 degrés, mais elles se méritent : pour les rejoindre il faut avancer dans la mer, donc passer par de l'eau plus froide. Les sources thermales se situent sur l'îlot voisin du volcan sur Nea Kameni, Palea Kaimeni, et vous pouvez vous y rendre en bateau depuis le port de Fira comme expliqué plus haut.
Attention : évitez les maillots blancs, où ils risquent de se tâcher au contact de ces sources.
Depuis le vieux port de Fira, vous pouvez embarquer sur un bateau pour une visite de l'archipel sur les eaux de la mer Egée. Le trajet en caïque coûte environ 30 euros. Cette croisade vous amènera à Nea Kameni pendant 1h30, à Palaia Kameni pour les sources chaudes entre les deux cratères, pendant trente minutes, puis vous laissera deux heures de temps libre sur l’île de Thirassia, avant de rentrer à Oia en longeant les falaises. Tout au long du voyage, des explications seront fournies dans toutes les langues.
D'autres circuits sont proposés, dont vous trouverez le détail ici : http://aethrio.gr/french/archives/1106
Comment y aller ?
Se rendre à Perissa
En avion
L'île dispose de son propre aéroport, l'aéroport de Santorin. Celui-ci est desservi depuis de nombreuses villes européennes, malheureusement Paris n'organise des vols spéciaux que pendant la haute saison. En basse saison, il faudra donc faire escale à Thira. Le prix des vols oscille autour de 300 euros. Une fois sur place, des bus à destination de Fira sont disponibles, d'où d'autres bus pourront vous emmener dans les villes alentours. Il est également possible de prendre un taxi ou de louer une voiture.
En bateau
Depuis le port de Pirée, il est possible de se rendre sur Santorin en bateau, via une traversée de 12 heures. Six fois par semaine, des bateaux partent de Heraklion, avec un temps de traversée considérablement plus court. Vous trouverez plus d'informations sur les horiares et les prix à cette adresse : http://www.greekislands.gr. Une fois arrivé au port, un taxi vous amènera à Perissa pour 15 euros.
S'y déplacer
En scooter
Il est possible de louer un scooter sur place, qui peut se révéler pratique si vous faites plusieurs courts trajets dans la journée.
En vélo
Le vélo vous permettra de vous aventurer dans les endroits sauvages plus facilement que le scooter.
En âne
Si vous voulez vraiment expérimenter le style de vie local, alors il faudra tester un trajet en mule au moins une fois.