Présentation
Hanga Roa est la capitale de l'île de Pâques. Elle est située dans l'océan Pacifique à environ 3 500 kilomètres des côtes chiliennes. L'on y parle l'espagnol et également le rapanui. Ce dernier terme est aussi le nom donné à l'île de Pâques elle-même dans cette langue. L'île dépendant du Chili, c'est le peso chilien qui est employé pour toutes les transactions. Le climat est typiquement subtropical humide ce qui implique que les températures varient de 18 degrés Celsius durant l'hiver austral (juillet et août) à un maximum de 28 degrés Celsius. Les voyageurs qui arrivent à Hanga Roa doivent régler leur montre à GMT - 6 avant de se voir passer un collier de fleurs autour du cou et d'être invités à danser avec les vahinés au son des ukulélés et des airs locaux. Bienvenue sur l'île de Pâques !
La ville de Hanga Roa appartient au département V - Valparaiso et à la province Isla de Pascua.
La ville de Hanga Roa compte 3 304 habitants (recensement de 2002).
Un habitant de la ville de Hanga Roa est appelé un hangués/a o hangaroés/a. Le nom espagnol est Hanga Roa.
Points ou centres d'intérêts
Les moaï, ce sont ces statues gigantesques emblématiques de l'île de Pâques et qui sont souvent à l'origine des voyages effectués à Hanga Roa. Sur l'ensemble de l'île, l'on en recense exactement 887. Plusieurs se trouvent immédiatement aux environs de Hanga Roa. Certaines sont isolées, alors que d'autres sont rassemblées sur un ahu qui est le nom donné à la plateforme cérémonielle sur laquelle sont disposées les statues. Les plus petites mesurent environ 2 mètres et 50 centimètres et pèsent 14 tonnes. Les plus grandes pour leur part atteignent parfois 9 mètres et leur poids avoisine alors les 80 tonnes. La majorité des moaï regardent vers le centre de l'île, sauf un groupe, celui du Ahu Akivi qui regarde vers l'océan. Il est vrai que ce ahu se trouve plus au milieu des terres contrairement aux autres qui sont tous sur le tour de l'île. Peut-être les moaï du Ahu Akivi « répondaient-ils » aux autres, aucun expert n'a pu le démontrer officiellement. Certains moäi portent une coiffe que l'on appelle un « pukao ». La signification de cet accessoire qui, à lui seul, pèse plusieurs tonnes, est là aussi mystérieuse.
Il est impossible de se tromper de musée, car il n'en existe qu'un seul sur toute l'île. Ce musée se trouve au nord de Hanga Roa à proximité de l'Ahu Tahai. L'environnement du musée situé sur une colline est merveilleux avec une vue sur l'océan absolument magique. Ce musée fondé dans les années 1970 porte le nom de musée anthropologique Père Sebastian Englert. Localement l'on parle plus simplement du MAPSE. Les collections du musée sont immenses et désormais bien organisées et donc beaucoup plus visibles par les visiteurs. Effectivement, au fur et à mesure des fouilles, les objets avaient été déposés au musée sans véritable classification et l'on estimait leur nombre à plus ou moins 6500 artefacts. En 1997 a eu lieu un énorme travail d'inventaire et l'on sait désormais avec certitude que la collection du MAPSE comporte... 15 000 objets ! Ces derniers sont classés selon 22 collections. En plus de cela, une bibliothèque permet aux visiteurs d'effectuer des recherches s'ils le souhaitent parmi les livres et documents photographiques qui sont eux aussi aisément accessibles car classifiés.
Coordonnées
Téléphone : (56) (32) 255 10 20
E-mail : mapse@mapse.cl
Site internet : www.museorapanui.cl
La Rano Raraku est un volcan situé dans l'est de l'île de Pâques. Il se trouve à une vingtaine de kilomètres de la ville de Hango Roa. Dans son cratère se trouve un lac. Le Rano Rarku est célèbre pour ses carrières de moaï. L'on en trouve ici environ une centaine. Certaines se tiennent debout et semblent achevées alors que d'autres sont couchées et comme en cours d'élaboration. Que s'est-il passé au 17ième siècle pour que certaines de ces oeuvres soient ainsi laissées en plan ? Nul ne peut le dire avec certitude, mais plusieurs hypothèses sont avancées. Il pourrait s'agir d'une maladie qui se serait répandue et aurait décimé les tailleurs de pierre. D'autres experts penchent plutôt pour la thèse de changements politiques radicaux, mais ceci semble peu probable à d'autres en raison de l'isolement de l'île. La plus grande partie des avis se rangent, sans toutefois pouvoir le démontrer, derrière l'idée d'une modification dans les rituels divinatoires.
Des guides se trouvent sur place qui proposent des visites guidées de l'endroit pour ne manquer aucun détail comme, par exemple, ce moäi à genoux, seul de ce type semble-t-il.
Anakena est une plage de l'île de Pâques dont le sable est si blanc qu'il en est presque éblouissant. Depuis la ville de Hanga Roa, il faut compter environ trente minutes de route pour s'y rendre. La plage d'Anakena est située dans le parc national de Rapa Nui. L'essentiel de la côte de l'île de Pâques étant rocheuse, il est très surprenant de trouver ici une telle plage. Bien sûr, les moaï sont présents ici aussi et deux ahus peuvent être admirés à proximité de la plage d'Anakena, l'un ne présentant qu'un seul moaï et l'autre en comportant sept. Des fouilles archéologiques ont eu lieu à cet endroit et des traces de peuplement humain remontant aux environs de 1200 ont été trouvées. Cependant, d'autres analyses indiquent que les premiers habitants de l'île s'y trouvaient déjà bien avant cela vers l'an 300 de notre ère. Traditionnellement, la plage est associée à Hotu Matu'a, un célèbre chef polynésien, qui y aurait débarqué pour y fonder la première colonie de l'île. De nos jours, un parking et une palmeraie permettent de s'adonner à quelques heures de farniente.
Puna Pau, c'est un peu « l'usine à chapeaux » de l'île de Pâques. Effectivement, c'est à cet endroit qu'étaient fabriqués les fameux « pukao », ces coiffes qui ornent la tête de certains moaï. Ces cylindres en pierre rouge pèsent plusieurs tonnes et certains ont été abandonnés ici-même avant d'avoir trouvé leur propriétaire. Sur les parois du cratère de Puna Pau l'on peut voir des scories rouges de toute beauté. Mais, revenons aux pukaos en tant que tels.
Quelle était exactement leur fonction ? Certains parlent d'un « chignon » et pensent donc tout simplement que les sculpteurs tentaient de représenter les cheveux des personnages. D'autres pensent qu'il s'agissait des coiffes faites de plumes que portaient les habitants de Rapanui. D'autres encore penchent pour un turban puisque les moaï participaient à des cérémonies.
Un autre mystère non résolu est celui du transport de ces blocs pesant plusieurs tonnes vers, par exemple, la crique d'Anakena. La distance à parcourir est de plus de dix kilomètres. Peut-être étaient-ils roulés...
Enfin, une fois sur place, les pukaos devaient rejoindre la tête des sculptures parfois de très haute taille. Un autre mystère qui reste à élucider.
Tous les Ahus de l'île de Pâques valent la peine d'être visités, mais celui-ci a une signification particulière pour les gens de l'île. D'ailleurs, les visiteurs qui font appel à un guide local sentiront tout de suite l'émotion grandir à l'approche de ce ahu en particulier. Les moaï sont ici couchés. Certains le sont en raison d'intempéries, mais la plupart ont purement et simplement été abattus. Effectivement, parce qu'ils représentaient une protection pour les habitants, les statues géantes furent parfois prises pour cibles lors de conflits humains liés aux ressources de l'île le plus souvent.
Lorsqu'arrive la fin de la journée, quelles sont les activités proposées à Hanga Roa? Il y a tout d'abord le ballet Kari Kari auquel le talent des danseurs confère une telle popularité qu'il faut réserver plusieurs jours à l'avance. En attendant le grand jour, les voyageurs peuvent également participer à une soirée culturelle traditionnelle Te Raïa. Après avoir été adéquatement maquillés à leur arrivée, les convives assistent à la cuisson des plats dans un trou recouvert de pierres chauffées. Puis débutent les chants et les danses qui durent jusque très tard dans la nuit.
Avec l'océan Pacifique tout autour, les amateurs de plongée ne pourront pas résister bien longtemps à quelques sorties en mer. Plusieurs centres de plongée offrent leurs services aux visiteurs de l'île. Il est également possible de plonger de nuit ce qui est extrêmement intéressant. Effectivement, certaines espèces profitent de la nuit pour se reposer, alors que d'autres sortent pour chasser leur proies. Un monde fabuleux à découvrir très différent de ce que l'on voit lorsque l'on plonge de jour.
Coordonnées du centre Mike Rapu
Téléphone : (56 32) 255 10 55
E-Mail : buceomikerapu@gmail.com
Site internet : www.mikerapu.cl
Coordonnées du centre Atariki Rapa Nui
Téléphone : (56 32) 255 02 27
E-Mail : info@atarikirapanui.cl
Site internet : www.atarikirapanui.com
Lorsque l'on séjourne à Hanga Roa, l'on peut visiter l'église de la ville au sein de laquelle se trouve la tombe d'Eugène Eyraud. Ce dernier fut le premier européen à s'installer sur l'île. C'était le 2 janvier 1864. Il fut le premier à remarquer dans les maisons des habitants de l'île des tablettes de bois sur lesquelles se trouvaient une multitude de signes gravés. Il s'agissait du rongo-rongo, ce « langage » qui, à ce jour, n'a toujours pas pu être déchiffré par quiconque. L'on pense que ce qui se trouve sur les tablettes de bois sont des poèmes ou des chants.
Comment y aller ?
Comment se rendre à Hanga Roa ?
En avion
L'on arrive à Hanga Roa via le seul aéroport de l'île de Pâques qui se nomme Mataveri. Il fait partie des aéroports les plus retirés du monde et seule une compagnie aérienne s'y rend : LAN Airlines. Les vols partent de Santiago et de Papeete.
Site internet de la compagnie aérienne LAN Airlines : www.lan.com
Les déplacements sur place
Par la route
Les automobilistes qui circulent sur l'île de Pâques n'auront pas de difficulté à se retrouver, car le réseau routier est très simple. Les routes partent de Hanga Roa. La seule qui soit goudronnée est celle qui longe l'aéroport et part vers l'est. Après trois kilomètres sur cette route, l'on arrive à une bifurcation. En empruntant la route de droite, l'on e dirige alors vers le site de Rano Raraku et en partant à gauche, l'on et en direction d'Anakena et de sa plage. Le reste du réseau est constitué de pistes.
Il n'existe aucun moyen de transport collectif sur l'île de Pâques (ni trains, ni autobus).
Des taxis proposent leurs services à celles et ceux qui ne souhaitent pas louer de véhicule.
Présentation
Hanga Roa est la capitale de l'île de Pâques. Elle est située dans l'océan Pacifique à environ 3 500 kilomètres des côtes chiliennes. L'on y parle l'espagnol et également le rapanui. Ce dernier terme est aussi le nom donné à l'île de Pâques elle-même dans cette langue. L'île dépendant du Chili, c'est le peso chilien qui est employé pour toutes les transactions. Le climat est typiquement subtropical humide ce qui implique que les températures varient de 18 degrés Celsius durant l'hiver austral (juillet et août) à un maximum de 28 degrés Celsius. Les voyageurs qui arrivent à Hanga Roa doivent régler leur montre à GMT - 6 avant de se voir passer un collier de fleurs autour du cou et d'être invités à danser avec les vahinés au son des ukulélés et des airs locaux. Bienvenue sur l'île de Pâques !
La ville de Hanga Roa appartient au département V - Valparaiso et à la province Isla de Pascua.
La ville de Hanga Roa compte 3 304 habitants (recensement de 2002).
Un habitant de la ville de Hanga Roa est appelé un hangués/a o hangaroés/a. Le nom espagnol est Hanga Roa.
Points ou centres d'intérêts
Les moaï, ce sont ces statues gigantesques emblématiques de l'île de Pâques et qui sont souvent à l'origine des voyages effectués à Hanga Roa. Sur l'ensemble de l'île, l'on en recense exactement 887. Plusieurs se trouvent immédiatement aux environs de Hanga Roa. Certaines sont isolées, alors que d'autres sont rassemblées sur un ahu qui est le nom donné à la plateforme cérémonielle sur laquelle sont disposées les statues. Les plus petites mesurent environ 2 mètres et 50 centimètres et pèsent 14 tonnes. Les plus grandes pour leur part atteignent parfois 9 mètres et leur poids avoisine alors les 80 tonnes. La majorité des moaï regardent vers le centre de l'île, sauf un groupe, celui du Ahu Akivi qui regarde vers l'océan. Il est vrai que ce ahu se trouve plus au milieu des terres contrairement aux autres qui sont tous sur le tour de l'île. Peut-être les moaï du Ahu Akivi « répondaient-ils » aux autres, aucun expert n'a pu le démontrer officiellement. Certains moäi portent une coiffe que l'on appelle un « pukao ». La signification de cet accessoire qui, à lui seul, pèse plusieurs tonnes, est là aussi mystérieuse.
Il est impossible de se tromper de musée, car il n'en existe qu'un seul sur toute l'île. Ce musée se trouve au nord de Hanga Roa à proximité de l'Ahu Tahai. L'environnement du musée situé sur une colline est merveilleux avec une vue sur l'océan absolument magique. Ce musée fondé dans les années 1970 porte le nom de musée anthropologique Père Sebastian Englert. Localement l'on parle plus simplement du MAPSE. Les collections du musée sont immenses et désormais bien organisées et donc beaucoup plus visibles par les visiteurs. Effectivement, au fur et à mesure des fouilles, les objets avaient été déposés au musée sans véritable classification et l'on estimait leur nombre à plus ou moins 6500 artefacts. En 1997 a eu lieu un énorme travail d'inventaire et l'on sait désormais avec certitude que la collection du MAPSE comporte... 15 000 objets ! Ces derniers sont classés selon 22 collections. En plus de cela, une bibliothèque permet aux visiteurs d'effectuer des recherches s'ils le souhaitent parmi les livres et documents photographiques qui sont eux aussi aisément accessibles car classifiés.
Coordonnées
Téléphone : (56) (32) 255 10 20
E-mail : mapse@mapse.cl
Site internet : www.museorapanui.cl
La Rano Raraku est un volcan situé dans l'est de l'île de Pâques. Il se trouve à une vingtaine de kilomètres de la ville de Hango Roa. Dans son cratère se trouve un lac. Le Rano Rarku est célèbre pour ses carrières de moaï. L'on en trouve ici environ une centaine. Certaines se tiennent debout et semblent achevées alors que d'autres sont couchées et comme en cours d'élaboration. Que s'est-il passé au 17ième siècle pour que certaines de ces oeuvres soient ainsi laissées en plan ? Nul ne peut le dire avec certitude, mais plusieurs hypothèses sont avancées. Il pourrait s'agir d'une maladie qui se serait répandue et aurait décimé les tailleurs de pierre. D'autres experts penchent plutôt pour la thèse de changements politiques radicaux, mais ceci semble peu probable à d'autres en raison de l'isolement de l'île. La plus grande partie des avis se rangent, sans toutefois pouvoir le démontrer, derrière l'idée d'une modification dans les rituels divinatoires.
Des guides se trouvent sur place qui proposent des visites guidées de l'endroit pour ne manquer aucun détail comme, par exemple, ce moäi à genoux, seul de ce type semble-t-il.
Anakena est une plage de l'île de Pâques dont le sable est si blanc qu'il en est presque éblouissant. Depuis la ville de Hanga Roa, il faut compter environ trente minutes de route pour s'y rendre. La plage d'Anakena est située dans le parc national de Rapa Nui. L'essentiel de la côte de l'île de Pâques étant rocheuse, il est très surprenant de trouver ici une telle plage. Bien sûr, les moaï sont présents ici aussi et deux ahus peuvent être admirés à proximité de la plage d'Anakena, l'un ne présentant qu'un seul moaï et l'autre en comportant sept. Des fouilles archéologiques ont eu lieu à cet endroit et des traces de peuplement humain remontant aux environs de 1200 ont été trouvées. Cependant, d'autres analyses indiquent que les premiers habitants de l'île s'y trouvaient déjà bien avant cela vers l'an 300 de notre ère. Traditionnellement, la plage est associée à Hotu Matu'a, un célèbre chef polynésien, qui y aurait débarqué pour y fonder la première colonie de l'île. De nos jours, un parking et une palmeraie permettent de s'adonner à quelques heures de farniente.
Puna Pau, c'est un peu « l'usine à chapeaux » de l'île de Pâques. Effectivement, c'est à cet endroit qu'étaient fabriqués les fameux « pukao », ces coiffes qui ornent la tête de certains moaï. Ces cylindres en pierre rouge pèsent plusieurs tonnes et certains ont été abandonnés ici-même avant d'avoir trouvé leur propriétaire. Sur les parois du cratère de Puna Pau l'on peut voir des scories rouges de toute beauté. Mais, revenons aux pukaos en tant que tels.
Quelle était exactement leur fonction ? Certains parlent d'un « chignon » et pensent donc tout simplement que les sculpteurs tentaient de représenter les cheveux des personnages. D'autres pensent qu'il s'agissait des coiffes faites de plumes que portaient les habitants de Rapanui. D'autres encore penchent pour un turban puisque les moaï participaient à des cérémonies.
Un autre mystère non résolu est celui du transport de ces blocs pesant plusieurs tonnes vers, par exemple, la crique d'Anakena. La distance à parcourir est de plus de dix kilomètres. Peut-être étaient-ils roulés...
Enfin, une fois sur place, les pukaos devaient rejoindre la tête des sculptures parfois de très haute taille. Un autre mystère qui reste à élucider.
Tous les Ahus de l'île de Pâques valent la peine d'être visités, mais celui-ci a une signification particulière pour les gens de l'île. D'ailleurs, les visiteurs qui font appel à un guide local sentiront tout de suite l'émotion grandir à l'approche de ce ahu en particulier. Les moaï sont ici couchés. Certains le sont en raison d'intempéries, mais la plupart ont purement et simplement été abattus. Effectivement, parce qu'ils représentaient une protection pour les habitants, les statues géantes furent parfois prises pour cibles lors de conflits humains liés aux ressources de l'île le plus souvent.
Lorsqu'arrive la fin de la journée, quelles sont les activités proposées à Hanga Roa? Il y a tout d'abord le ballet Kari Kari auquel le talent des danseurs confère une telle popularité qu'il faut réserver plusieurs jours à l'avance. En attendant le grand jour, les voyageurs peuvent également participer à une soirée culturelle traditionnelle Te Raïa. Après avoir été adéquatement maquillés à leur arrivée, les convives assistent à la cuisson des plats dans un trou recouvert de pierres chauffées. Puis débutent les chants et les danses qui durent jusque très tard dans la nuit.
Avec l'océan Pacifique tout autour, les amateurs de plongée ne pourront pas résister bien longtemps à quelques sorties en mer. Plusieurs centres de plongée offrent leurs services aux visiteurs de l'île. Il est également possible de plonger de nuit ce qui est extrêmement intéressant. Effectivement, certaines espèces profitent de la nuit pour se reposer, alors que d'autres sortent pour chasser leur proies. Un monde fabuleux à découvrir très différent de ce que l'on voit lorsque l'on plonge de jour.
Coordonnées du centre Mike Rapu
Téléphone : (56 32) 255 10 55
E-Mail : buceomikerapu@gmail.com
Site internet : www.mikerapu.cl
Coordonnées du centre Atariki Rapa Nui
Téléphone : (56 32) 255 02 27
E-Mail : info@atarikirapanui.cl
Site internet : www.atarikirapanui.com
Lorsque l'on séjourne à Hanga Roa, l'on peut visiter l'église de la ville au sein de laquelle se trouve la tombe d'Eugène Eyraud. Ce dernier fut le premier européen à s'installer sur l'île. C'était le 2 janvier 1864. Il fut le premier à remarquer dans les maisons des habitants de l'île des tablettes de bois sur lesquelles se trouvaient une multitude de signes gravés. Il s'agissait du rongo-rongo, ce « langage » qui, à ce jour, n'a toujours pas pu être déchiffré par quiconque. L'on pense que ce qui se trouve sur les tablettes de bois sont des poèmes ou des chants.
Comment y aller ?
Comment se rendre à Hanga Roa ?
En avion
L'on arrive à Hanga Roa via le seul aéroport de l'île de Pâques qui se nomme Mataveri. Il fait partie des aéroports les plus retirés du monde et seule une compagnie aérienne s'y rend : LAN Airlines. Les vols partent de Santiago et de Papeete.
Site internet de la compagnie aérienne LAN Airlines : www.lan.com
Les déplacements sur place
Par la route
Les automobilistes qui circulent sur l'île de Pâques n'auront pas de difficulté à se retrouver, car le réseau routier est très simple. Les routes partent de Hanga Roa. La seule qui soit goudronnée est celle qui longe l'aéroport et part vers l'est. Après trois kilomètres sur cette route, l'on arrive à une bifurcation. En empruntant la route de droite, l'on e dirige alors vers le site de Rano Raraku et en partant à gauche, l'on et en direction d'Anakena et de sa plage. Le reste du réseau est constitué de pistes.
Il n'existe aucun moyen de transport collectif sur l'île de Pâques (ni trains, ni autobus).
Des taxis proposent leurs services à celles et ceux qui ne souhaitent pas louer de véhicule.