Présentation
Kampot est une ville qui se trouve tout à fait au sud du Cambodge à proximité de la frontière avec le Vietnam et sur les rives du Golfe de Thaïlande. La langue officielle que l'on y parle est le khmer et la monnaie qui y a cours est le riel. Le climat tropical de la ville fait en sorte que la température y est toujours en moyenne de 27 degrés Celsius. Plusieurs périodes sont toutefois à distinguer tout au long de l'année. Il y a la saison humide qui va du mois de juin au mois de novembre et la saison sèche qui se déploie sur tout le reste de l'année. Au sein de chacune de ces périodes, il faut distinguer deux sous-périodes : l'une fraiche et l'autre chaude. Ainsi donc, de juin à septembre, le temps est chaud et humide. Puis, d'octobre à décembre, la température chute, mais c'est toujours humide. Entre décembre et février, le temps est frais et sec. Enfin, de mars à mai, le temps se réchauffe pour devenir chaud et sec avant que ne recommence la saison humide. Choisissez ce qui vous convient le mieux !
La ville de Kampot appartient à la province Preah Vihear, au district Rovieng et à la commune Rohas.
La ville de Kampot compte 39 186 habitants (recensement de 1998).
Le nom français de la ville est Kampot.
Points ou centres d'intérêts
Les temples que l'on peut visiter à Kampot sont de deux types : il y a les temples bouddhistes et les temples chinois. Les premiers sont localement appelés des Wats. Au sens strict, un Wat est un monastère au sein duquel se trouve une école bouddhiste et, par ailleurs, des moines résident sur place en permanence. Toutefois, dans le langage courant, un Wat est appliqué à tout temple bouddhiste, avec ou sans école et dans lequel vivent ou pas des moines résidents. Chacun des six Wats de Kampot possède des fresques peintes à la main qui représentent des moments importants de la vie de Bouddha. Ces représentations sont de toute beauté et ornent les parois intérieures du Wat. Le Wat le plus prisé des visiteurs de passage à Kampot est le Wat Treuy Koh.
Les temples chinois, pour leur part, sont au nombre de deux. Le plus populaire auprès des voyageurs est celui qui se trouve à proximité du Vietnam Friendship Monument.
Dans chacun de ces temples, le respect et le silence sont de mise. Il est également suggéré de demander l'autorisation à un représentant du Wat avant de photographier l'intérieur du temple et les statues.
Lorsque l'on mentionne que l'on part visiter Kampot, il n'est pas rare que quelques amis gourmets tendent l'oreille et nous demande de rapporter un peu du célèbre poivre de Kampot. Si ce n'est pas avant le départ que l'on entend parler du fameux condiment, une fois sur place, impossible de ne pas être amené(e) à découvrir ce poivre dont la qualité à fait la réputation de Kampot. Le poivre de Kampot, pour être autorisé à porter cette appellation doit, bien sûr, être cultivé à Kampot, mais surtout sans pesticides ou engrais inorganiques. Les voyageurs doivent être vigilants, car la célébrité du poivre de Kampot pousse certains marchands à définir leur produit comme étant du poivre de Kampot bien que ce ne soit pas du tout le cas. Pour s'assurer de la provenance dudit poivre, l'on doit pouvoir trouver sur l'emballage le logo GI (Géographical Indicator) ainsi qu'un code d'identification de la ferme qui a produit le poivre en question. Il est bon de savoir également qu'il existe quatre variétés de poivre de Kampot : vert, rouge, blanc et noir. Si l'on ne doit en goûter qu'un seul sur place, il faudrait alors que ce soit le vert, car celui-ci n'est pas exporté.
L'on trouve à Kampot, en se promenant dans les rues des différents quartiers, de nombreux édifices coloniaux très intéressants à admirer. Certains d'entre eux peuvent également être visités. Commençons cette excursion architecturale dans Kampot par les deux anciens cinémas de la ville. Les amateurs de style Art Déco vont se régaler à la vue de ces deux édifices. Autre digne représentant de l'architecture Art Déco à Kampot, le centre d'information touristique lui-même. Poursuivons avec une promenade le long de la rivière où se trouvent plusieurs bâtiments coloniaux parmi lesquels la résidence du gouverneur, l'édifice de la Croix-Rouge ou encore le ministère des Mines. L'architecture coloniale se retrouve également dans la gare qui se trouve à la sortie de la ville sur la route de Phnom Penh. Deux autres infrastructures très anciennes valent le coup d'oeil : le vieux pont, à voir de préférence au moment du coucher du soleil tant la vue y est à ce moment-là photogénique, et la vieille prison. Bien que très ancienne, la prison est toujours en activité et il est donc impossible de la visiter. Terminons avec le vieux marché récemment restauré et rempli d'une belle effervescence typiquement cambodgienne
L'on parle de nos jours du parc national de Bokor, mais avant de devenir parc national, ce lieu a connu une histoire riche dont la connaissance permet aux voyageurs de revivre les périodes importantes de l'histoire du Cambodge. Ainsi donc, à l'origine, la station de montagne de Bokor était un centre de villégiature très chic où se rendait, entre autres, la famille royale du Cambodge. L'administration coloniale française a développé l'endroit dès 1912 et c'est en 1917 que fut construit le somptueux palace et son casino. Plus tard, dans les années 60, le prince Sihanouk fit construire à Bokor une vaste et luxueuse villa. Puis, la guerre a éclaté et l'endroit a été abandonné durant plusieurs décennies pour finalement tomber en ruines. Récemment, le gouvernement cambodgien a décidé de redonner vie à ce lieu cher au coeur des habitants de la région et d'importants travaux de rénovations ont commencé. En plus du confort apporté par ces restaurations, le lieu conserve sa beauté sauvage d'origine avec ses vues à couper le souffle, sa végétation luxuriante et son climat si particulier qui vient parfois déposer quelques nuages brumeux sur les bâtiments leur conférant alors un charme mystérieux.
En quittant Kampot en direction de Kep par la route 33, l'on aperçoit soudain une petite statue de rhinocéros qui sert de point de repère pour l'entrée des sites archéologiques de Phnom Chhngok et de Phnom Kbal Romeas. Une pancarte indique également les deux lieux, mais c'est bien cette petite statue que l'on voit en premier, car elle a la particularité de se trouver... au milieu de la route ! Le premier lieu auquel l'on accède est Phnom Kbal Romeas qui est constitué d'une simple petite colline calcaire dans laquelle l'on s'introduit par un tout petit chemin qui mène à une première grotte. L'on y distingue sur les parois des formes animales. Puis, l'on pénètre dans une salle plus vaste et éclairée par un hallucinant puits de lumière. Ce dernier permet aux visiteurs de distinguer les vestiges d'un sanctuaire brahmanique. En ressortant, direction Phnom Chhngok, situé juste un peu plus loin à pied, pour admirer cette fois-ci un temple troglodyte. Ici, dans la grotte principale, l'on découvre un merveilleux sanctuaire datant du 7ième siècle.
L'on peut décider d'effectuer cette visite par soi-même, mais il est suggéré de faire appel aux guides locaux qui apportent de précieux compléments d'informations aux voyageurs qui les sollicitent.
Avec la mer toute proche, les poissons et les fruits de mer sont abondants à Kampot et toujours d'une grande fraîcheur. Pour ajouter encore un peu plus de charme à cette savoureuse dégustation, l'on peut se diriger un peu au nord du nouveau pont où se trouvent plusieurs restaurants sur pilotis très agréables.
Du côté des boissons, toute personne visitant Kampot devrait essayer le Teuk Rleuek qui est une sorte de jus de fruit absolument délicieux que l'on peut se procurer auprès des nombreux vendeurs qui se trouvent sur les avenues principales en fin de journée.
Ne cherchez pas de monument dédié au poivre à Kampot, il n'y en en pas ! C'est effectivement assez surprenant, mais d'autres monuments remplacent ce manque de manière très intéressante. Il y a tout d'abord le monument consacré au Durian, ce fruit que l'on cultive abondamment dans la région et dont la production locale est synonyme de grande qualité. Puis, il y a le rond-point de l'an 2000 où les quatre chiffres géants sont surmontés d'une mouette. Le Salt Workers Monument et le Vietnam Friendship Monument viennent compléter cette liste des principaux monuments de Kampot.
C'est un zoo un peu particulier que celui de Teuk Chhu. Il s'agit désormais plutôt d'un refuge, car l'entreprise a connu des difficultés financières. Cependant, de nombreuses organisations sont venues en aide au zoo et celui-ci peut donc toujours recevoir les visiteurs pour leur permettre de voir de somptueux animaux parmi lesquels les éléphants Kiri et Seila qui sont devenus de véritables mascottes de l'endroit ! Visiter le zoo Teuk Chhu, c'est donc joindre l'utile à l'agréable puisque l'intégralité des droits d'entrée payés pour admirer les animaux sert à leur confort. Le personnel du zoo est totalement bénévole.
Rabbit Island se dit en cambodgien Koh Thonsay, mais celles et ceux qui s'y rendent proposent une toute autre traduction pour nommer ce lieu. Effectivement, tous les voyageurs sans exception qui sont venus à Rabbit Island sont unanimes, cette île est la définition pure et simple du PA-RA-DIS !!! Les plages de sable blanc, les coraux nombreux et colorés, les plantes et les animaux marins que l'on croise en descendant la pente douce qui permet d'entrer dans l'eau claire et toujours à une température idéale, rien ne manque ! L'on vient en bateau jusqu'à l'île et l'on ne rêve que d'une chose... que celui-ci oublie de venir nous rechercher !
Comment y aller ?
Comment se rendre à Kampot ?
En avion
La ville de Kampot se trouve à peu près à égale distance des aéroports de Sihanoukville et de Phnom Penh.
Site internet des aéroports de Sihanoukville et de Phnom Penh : http://www.kos.aero/en#anchor
Par la route
Un peu plus de 100 kilomètres de route restent à parcourir pour terminer le voyage entre Sihanoukville ou Phnom Penh et Kampot.
En train
Le train n'est pas un moyen de transport à retenir lorsque l'on visite le Cambodge. Le pays ne possède que deux lignes et l'une d'entre elles n'est désormais plus accessible aux voyageurs car réservée au transport de marchandises.
En autobus
L'autobus, par contre, propose de multiples options lorsque l'on séjourne à Kampot.
La gare routière de Kampot se trouve à l'intersection de la route 33 et de la rue du Vieux Marché.
Les compagnies d'autobus sont multiples au Cambodge. Toutefois, deux se distinguent pour le trajet entre Phnom Penh et Kampot : Sorya et Giant Ibis.
Site internet de Sorya Transportation : http://www.ppsoryatransport.com/eng/index.php?page=home
Site internet de Giant Ibis Transport : http://www.giantibis.com/
En taxi
Il existe des taxis privés qui permettent de se déplacer vers Kampot ou au sein de la ville, mais leurs tarifs sont parfois prohibitifs. Il est souvent plus avantageux de faire appel aux taxis partagés.
Présentation
Kampot est une ville qui se trouve tout à fait au sud du Cambodge à proximité de la frontière avec le Vietnam et sur les rives du Golfe de Thaïlande. La langue officielle que l'on y parle est le khmer et la monnaie qui y a cours est le riel. Le climat tropical de la ville fait en sorte que la température y est toujours en moyenne de 27 degrés Celsius. Plusieurs périodes sont toutefois à distinguer tout au long de l'année. Il y a la saison humide qui va du mois de juin au mois de novembre et la saison sèche qui se déploie sur tout le reste de l'année. Au sein de chacune de ces périodes, il faut distinguer deux sous-périodes : l'une fraiche et l'autre chaude. Ainsi donc, de juin à septembre, le temps est chaud et humide. Puis, d'octobre à décembre, la température chute, mais c'est toujours humide. Entre décembre et février, le temps est frais et sec. Enfin, de mars à mai, le temps se réchauffe pour devenir chaud et sec avant que ne recommence la saison humide. Choisissez ce qui vous convient le mieux !
La ville de Kampot appartient à la province Preah Vihear, au district Rovieng et à la commune Rohas.
La ville de Kampot compte 39 186 habitants (recensement de 1998).
Le nom français de la ville est Kampot.
Points ou centres d'intérêts
Les temples que l'on peut visiter à Kampot sont de deux types : il y a les temples bouddhistes et les temples chinois. Les premiers sont localement appelés des Wats. Au sens strict, un Wat est un monastère au sein duquel se trouve une école bouddhiste et, par ailleurs, des moines résident sur place en permanence. Toutefois, dans le langage courant, un Wat est appliqué à tout temple bouddhiste, avec ou sans école et dans lequel vivent ou pas des moines résidents. Chacun des six Wats de Kampot possède des fresques peintes à la main qui représentent des moments importants de la vie de Bouddha. Ces représentations sont de toute beauté et ornent les parois intérieures du Wat. Le Wat le plus prisé des visiteurs de passage à Kampot est le Wat Treuy Koh.
Les temples chinois, pour leur part, sont au nombre de deux. Le plus populaire auprès des voyageurs est celui qui se trouve à proximité du Vietnam Friendship Monument.
Dans chacun de ces temples, le respect et le silence sont de mise. Il est également suggéré de demander l'autorisation à un représentant du Wat avant de photographier l'intérieur du temple et les statues.
Lorsque l'on mentionne que l'on part visiter Kampot, il n'est pas rare que quelques amis gourmets tendent l'oreille et nous demande de rapporter un peu du célèbre poivre de Kampot. Si ce n'est pas avant le départ que l'on entend parler du fameux condiment, une fois sur place, impossible de ne pas être amené(e) à découvrir ce poivre dont la qualité à fait la réputation de Kampot. Le poivre de Kampot, pour être autorisé à porter cette appellation doit, bien sûr, être cultivé à Kampot, mais surtout sans pesticides ou engrais inorganiques. Les voyageurs doivent être vigilants, car la célébrité du poivre de Kampot pousse certains marchands à définir leur produit comme étant du poivre de Kampot bien que ce ne soit pas du tout le cas. Pour s'assurer de la provenance dudit poivre, l'on doit pouvoir trouver sur l'emballage le logo GI (Géographical Indicator) ainsi qu'un code d'identification de la ferme qui a produit le poivre en question. Il est bon de savoir également qu'il existe quatre variétés de poivre de Kampot : vert, rouge, blanc et noir. Si l'on ne doit en goûter qu'un seul sur place, il faudrait alors que ce soit le vert, car celui-ci n'est pas exporté.
L'on trouve à Kampot, en se promenant dans les rues des différents quartiers, de nombreux édifices coloniaux très intéressants à admirer. Certains d'entre eux peuvent également être visités. Commençons cette excursion architecturale dans Kampot par les deux anciens cinémas de la ville. Les amateurs de style Art Déco vont se régaler à la vue de ces deux édifices. Autre digne représentant de l'architecture Art Déco à Kampot, le centre d'information touristique lui-même. Poursuivons avec une promenade le long de la rivière où se trouvent plusieurs bâtiments coloniaux parmi lesquels la résidence du gouverneur, l'édifice de la Croix-Rouge ou encore le ministère des Mines. L'architecture coloniale se retrouve également dans la gare qui se trouve à la sortie de la ville sur la route de Phnom Penh. Deux autres infrastructures très anciennes valent le coup d'oeil : le vieux pont, à voir de préférence au moment du coucher du soleil tant la vue y est à ce moment-là photogénique, et la vieille prison. Bien que très ancienne, la prison est toujours en activité et il est donc impossible de la visiter. Terminons avec le vieux marché récemment restauré et rempli d'une belle effervescence typiquement cambodgienne
L'on parle de nos jours du parc national de Bokor, mais avant de devenir parc national, ce lieu a connu une histoire riche dont la connaissance permet aux voyageurs de revivre les périodes importantes de l'histoire du Cambodge. Ainsi donc, à l'origine, la station de montagne de Bokor était un centre de villégiature très chic où se rendait, entre autres, la famille royale du Cambodge. L'administration coloniale française a développé l'endroit dès 1912 et c'est en 1917 que fut construit le somptueux palace et son casino. Plus tard, dans les années 60, le prince Sihanouk fit construire à Bokor une vaste et luxueuse villa. Puis, la guerre a éclaté et l'endroit a été abandonné durant plusieurs décennies pour finalement tomber en ruines. Récemment, le gouvernement cambodgien a décidé de redonner vie à ce lieu cher au coeur des habitants de la région et d'importants travaux de rénovations ont commencé. En plus du confort apporté par ces restaurations, le lieu conserve sa beauté sauvage d'origine avec ses vues à couper le souffle, sa végétation luxuriante et son climat si particulier qui vient parfois déposer quelques nuages brumeux sur les bâtiments leur conférant alors un charme mystérieux.
En quittant Kampot en direction de Kep par la route 33, l'on aperçoit soudain une petite statue de rhinocéros qui sert de point de repère pour l'entrée des sites archéologiques de Phnom Chhngok et de Phnom Kbal Romeas. Une pancarte indique également les deux lieux, mais c'est bien cette petite statue que l'on voit en premier, car elle a la particularité de se trouver... au milieu de la route ! Le premier lieu auquel l'on accède est Phnom Kbal Romeas qui est constitué d'une simple petite colline calcaire dans laquelle l'on s'introduit par un tout petit chemin qui mène à une première grotte. L'on y distingue sur les parois des formes animales. Puis, l'on pénètre dans une salle plus vaste et éclairée par un hallucinant puits de lumière. Ce dernier permet aux visiteurs de distinguer les vestiges d'un sanctuaire brahmanique. En ressortant, direction Phnom Chhngok, situé juste un peu plus loin à pied, pour admirer cette fois-ci un temple troglodyte. Ici, dans la grotte principale, l'on découvre un merveilleux sanctuaire datant du 7ième siècle.
L'on peut décider d'effectuer cette visite par soi-même, mais il est suggéré de faire appel aux guides locaux qui apportent de précieux compléments d'informations aux voyageurs qui les sollicitent.
Avec la mer toute proche, les poissons et les fruits de mer sont abondants à Kampot et toujours d'une grande fraîcheur. Pour ajouter encore un peu plus de charme à cette savoureuse dégustation, l'on peut se diriger un peu au nord du nouveau pont où se trouvent plusieurs restaurants sur pilotis très agréables.
Du côté des boissons, toute personne visitant Kampot devrait essayer le Teuk Rleuek qui est une sorte de jus de fruit absolument délicieux que l'on peut se procurer auprès des nombreux vendeurs qui se trouvent sur les avenues principales en fin de journée.
Ne cherchez pas de monument dédié au poivre à Kampot, il n'y en en pas ! C'est effectivement assez surprenant, mais d'autres monuments remplacent ce manque de manière très intéressante. Il y a tout d'abord le monument consacré au Durian, ce fruit que l'on cultive abondamment dans la région et dont la production locale est synonyme de grande qualité. Puis, il y a le rond-point de l'an 2000 où les quatre chiffres géants sont surmontés d'une mouette. Le Salt Workers Monument et le Vietnam Friendship Monument viennent compléter cette liste des principaux monuments de Kampot.
C'est un zoo un peu particulier que celui de Teuk Chhu. Il s'agit désormais plutôt d'un refuge, car l'entreprise a connu des difficultés financières. Cependant, de nombreuses organisations sont venues en aide au zoo et celui-ci peut donc toujours recevoir les visiteurs pour leur permettre de voir de somptueux animaux parmi lesquels les éléphants Kiri et Seila qui sont devenus de véritables mascottes de l'endroit ! Visiter le zoo Teuk Chhu, c'est donc joindre l'utile à l'agréable puisque l'intégralité des droits d'entrée payés pour admirer les animaux sert à leur confort. Le personnel du zoo est totalement bénévole.
Rabbit Island se dit en cambodgien Koh Thonsay, mais celles et ceux qui s'y rendent proposent une toute autre traduction pour nommer ce lieu. Effectivement, tous les voyageurs sans exception qui sont venus à Rabbit Island sont unanimes, cette île est la définition pure et simple du PA-RA-DIS !!! Les plages de sable blanc, les coraux nombreux et colorés, les plantes et les animaux marins que l'on croise en descendant la pente douce qui permet d'entrer dans l'eau claire et toujours à une température idéale, rien ne manque ! L'on vient en bateau jusqu'à l'île et l'on ne rêve que d'une chose... que celui-ci oublie de venir nous rechercher !
Comment y aller ?
Comment se rendre à Kampot ?
En avion
La ville de Kampot se trouve à peu près à égale distance des aéroports de Sihanoukville et de Phnom Penh.
Site internet des aéroports de Sihanoukville et de Phnom Penh : http://www.kos.aero/en#anchor
Par la route
Un peu plus de 100 kilomètres de route restent à parcourir pour terminer le voyage entre Sihanoukville ou Phnom Penh et Kampot.
En train
Le train n'est pas un moyen de transport à retenir lorsque l'on visite le Cambodge. Le pays ne possède que deux lignes et l'une d'entre elles n'est désormais plus accessible aux voyageurs car réservée au transport de marchandises.
En autobus
L'autobus, par contre, propose de multiples options lorsque l'on séjourne à Kampot.
La gare routière de Kampot se trouve à l'intersection de la route 33 et de la rue du Vieux Marché.
Les compagnies d'autobus sont multiples au Cambodge. Toutefois, deux se distinguent pour le trajet entre Phnom Penh et Kampot : Sorya et Giant Ibis.
Site internet de Sorya Transportation : http://www.ppsoryatransport.com/eng/index.php?page=home
Site internet de Giant Ibis Transport : http://www.giantibis.com/
En taxi
Il existe des taxis privés qui permettent de se déplacer vers Kampot ou au sein de la ville, mais leurs tarifs sont parfois prohibitifs. Il est souvent plus avantageux de faire appel aux taxis partagés.