Présentation
Oruro se trouve à mi-chemin entre La Paz et Sucre dans l’altiplano bolivien, à environ 4000 mètres d’altitude. Bien que sa population de 235.000 habitants a connu des temps difficiles à cause des vicissitudes de l’industrie minière changeante, les hauts et les bas de l’économie n’ont pas altérés son esprit festif, puisque la ville est réputée pour son carnaval, un des évènements folkloriques importants d’Amérique du Sud. Grâce à son carnaval, Oruro attire les touristes, qui deviennent de plus en plus nombreux. Avec des hivers froids et des étés chauds, il est préférable de s’y rendre entre novembre et mars. La monnaie utilisée est le boliviano, l’espagnol est largement parlé. La ville se trouve sur le fuseau horaire de la Bolivie, UTC-4.
La ville de Oruro appartient au département Oruro, à la province Cercado et à la municipalité Oruro.
La ville de Oruro compte 201 230 habitants (recensement de 2012). L'altitude maximum est de 3 735 m, l'altitude moyenne est de 3 706 m.
Le maire de la ville de Oruro est actuellement Rossío Pimentel.
Un habitant de la ville de Oruro est appelé un Orureño. Le nom français de la ville est Oruro, le nom espagnol est Oruro.
La ville de Oruro a été fondée en 1606. Le site Internet de Oruro est http://oruroweb.com
Points ou centres d'intérêts
Cette ancienne fête de 2000 ans est un des évènements principaux inscrits sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco, qui est un mélange séduisant des anciennes traditions indigènes et de rituels chrétiens modernes, dédié à la Vierge de Candelaria, la Vierge Noire qui a été la sainte patronne de la ville depuis son apparition qui a béni les festivités de 1756. Plus de 48 groupes différents de danseurs, spécialisés dans 18 danses différentes, forment une procession qui se dirige vers le Sanctuaire du Tunnel, accompagnés de groupes de musique, avec des jeux mystérieux, beaucoup de nourriture et de boisson, le tout dans un esprit de fête. Avec aussi en particulier, la danse Llama llama, un genre de farce chorégraphique avec des éléments acrobatiques, ainsi que la Diablada, dans laquelle les acteurs portent le costume du diable, dont les origines remontent possiblement au temps du dieu local El Tío. Avec 40.000 visiteurs qui se regroupent tout au long des 6km de la route de la procession, le Carnaval d’Oruro est l’évènement idéal pour en apprendre plus sur la cuture folklorique bolivienne. Le carnaval se déroule tous les ans, dix jours avant le carême.
Une fois par an, cette magnifique petite église devient le centre des activités frénétiques, puisque c’est là que s'arrête la procession du carnaval, mais le reste du temps, cet endroit paisible permet de mieux connaître les traditions d’Oruro. La Vierge de Socavón, ou la Vierge du Tunnel, est appelée ainsi en raison de son rôle de protectrice des mineurs de la ville, qui lui adressent leurs prières depuis le XVIème siècle pour les sauver des risques dangereux du métier. L’actuel bâtiment est une reconstruction du XIXème siècle de l’église d’origine, construite en 1781, mais elle est magnifiquement décorée par un sanctuaire en or, devant lequel les danseurs du carnaval viennent s’agenouiller pour célébrer les victoires sur le diable de l’histoire du carnaval. Vous pouvez visiter le très beau musée de la mine souterraine, voir des masques de carnaval et d'autres objets artisanaux dans le musée des objets folkloriques et religieux, et en apprendre plus sur le dieu démoniaque El Tío, dont des statues se trouvent ici.
Adresse : Calle Baptista bet Adolfo Miel and Junin. Heures d’ouverture : 09h30-11h30, 15h30-17h30
Cette immense statue représente la Vierge de Socavón, de façon très détaillée, portant une couronne montée d’une croix, et avec l’enfant Jésus dans ses bras, et un regard doux dirigé vers les personnes qui sont rassemblées en bas. Avec 45 mètres de hauteur, elle mesure sept mètres de plus que la célèbre statue du Christ à Rio. Elle est construite en ciment, fer et fibre de verre. Située sur une colline au-dessus de la ville, le panorama sur Oruro et sur les paysages alentours sont à couper le souffle, particulièrement après la tombée de la nuit lorsque les lumières de la ville s’allument, bien qu’une veste chaude soit nécessaire à cause du vent glacial de l’altiplano. Néanmoins, la pelouse synthétique et les petits bancs en font un endroit idéal pour un pique-nique, même s’il fait un peu frais, et il est amusant d’essayer de repérer les endroits importants de la ville avec l’aide des habitants locaux. Pour eux, cette gigantesque image de la mère du Christ est une représentation de la piété de la ville, de tradition et de sainteté, et pour les mineurs qui risquent leur vie quotidiennement, elle est le symbole de la croyance et de la foi absolue dans ses pouvoirs de protection.
Les Andes sont la plus longue chaîne montagneuse continentale dans le monde, et elles restent un des derniers espaces sauvages intacts. Ce n’est donc pas étonnant qu’elles abritent une grande variété de vie sauvage indigène, avec de nombreuses espèces uniques qui se sont parfaitement bien adaptées à la vie de cet environnement rude. Zoológico Andino à Oruro,vous propose d’observer de plus près ces magnifiques créatures, avec environ 80 différents animaux individuels, dont 60 % sont d’origine de la région. Il y a de nombreuses espèces charmantes et amusantes, telles que le magnifique et étrange quirquincho, ce tatou des Andes, un mignon animal poilu rose qui a une grande tendance à vouloir creuser. Vous pouvez également voir des lamas, des vigognes, de alpagas, mais aussi apprendre sur leur importance dans l’économie des hauts-plateaux de Bolivie. Il y a aussi une grande diversité de reptiles et d’oiseaux, tels que les puissants condors noirs et des aigles royaux.
Adresse : Calle Tomás Frias et capitán Barriga. Admission: Bs. 2.
Situé juste à côté du zoo, de sorte que vous pouvez facilement visiter les deux dans la journée, le ‘Museo National Antropologico'se concentre sur l’ethnographie et le folklore d’Oruro, et c’est une très bonne introduction à la culture et l’histoire complexe et fascinante de la région. Il se trouve dans un magnifique vieux bâtiment de l’Espagne coloniale, avec comme pièces principales, une collection impressionnante de corps momifiés, des squelettes et des crânes, particulièrement des spécimens de crânes déformés. Il y a également une grande collection de vieilles poteries, et des masques de carnaval et des costumes colorés, c’est donc un endroit propice pour apprendre sur les histoires, les traditions et l’artisanat qui rend cette tradition culturelle vibrante. Fondé en 1959 et géré par l’Etat, le musée présente des objets datant de l’ère précolombienne. Des instruments de musique tels que des flûtes de pan, des petites statues et sculptures de divinités, et des objets tels que des outils en pierre et des bijoux des cultures Wancarani, Chiripa et Chipaya y sont également exposés.
Adresse : Avenida Spain. Admission: Bs. 5.
Prenez le train avec Empresa Ferroviaria Andina pour vous rendre dans la petite ville d’Uyuni, perdue au milieu de nulle part. Autrefois une ville de chemin de fer ennuyeuse, Uyuni est aujourd’hui une destination obligatoire des personnes qui voyagent en Bolivie, grâce à son salar, le plus grand du monde. Avec une surface de 10.000 km², et avec une profondeur allant jusqu’à 10 m, le salar d’Uyuni est un paradis pour les photographes, avec ses lagons claires et lumineux, ses grottes, ses volcans et ses horizons sans fin. Il est possible de réserver des excursions en 4x4 depuis Uyuni, et loger dans des refuges basiques où il peut faire froid, mais avec ciel inoubliable.
Des bus confortables qui ne coûtent pas plus que Bs.90, prennent entre 10 et 14 heures pour se rendre à la frontière du Chili. Iquique possède un duty-free appelé ‘Zofri’, idéal pour faire le plein de chocolat, de produits cosmétiques et d’électronique. Il y a de nombreux sites historiques avec des bâtiments au style architectural colonial, des casinos, des clubs et théâtres, et la cathédrale Parroquia du XVIIIème siècle. Iquique est également réputée pour son soleil et ses magnifiques plages où les surfeurs apprécieront particulièrement les excellentes vagues.
A 25 km au nord-est de la ville, les sources chaudes des ‘Termas de Obrajes’ sont une destination fréquentée pour ceux qui cherchent à se détendre. De haut de gamme, propres et bien organisées, les termes possèdent une grande piscine ainsi que de nombreux petits chalets privés dans lesquels vous pouvez profiter d’un bain à remous. L’entrée est de Bs.2, et vous pouvez prendre un bus à l’arrêt qui se trouve au coin du Caro et de l’Av.6 de Agosto pour vous y rendre.
Ce lac salin peu profond est tellement grand, qu’il occupe toute la moitié est du département d’Oruro. Il est connu pour être l’ « Atlantis bolivien », car l’expansion du lac à travers le bassin Poopó a englouti de nombreux villages. L’archéologie de la région est particulièrement riche, puisque une culture florissante d’élevage de lama et de commerce existait déjà ici, il y a environ 200 avant J.C. De nos jours, ce lac salin abrite une grande variété d’oiseaux, tels que les flamands roses, et le puissant condor des Andes, qui en fait une destination incontournable pour les amoureux de la nature.
Comment y aller ?
Oruro est desservie régulièrement par des cars quotidiens en provenance de La Paz, qui prennent environ quatre heures pour un prix de Bs 15. La Paz détient l’aéroport le plus haut du monde. L’aéroport international El Alto, avec des vols en provenance du Pérou, Colombie, Argentine, Chili et les Etats-Unis, a aussi un grand choix de vols intérieurs. Si vous voulez un vol direct d’Europe, l’aéroport de Viru Viru, situé à Santa Cruz de la Sierra, est la meilleure option avec des vols directs d’Espagne, bien que qu’il soit un peu loin d’Oruro. En voyageant de Bolivie, il y a des cars qui relient Oruro avec des villes telles que Cochabamba, Uyuni et Challapata, et il y a des trains longues-distances vers Uyuni, with the Expreso Sur, qui part les mardis et les vendredis à 3h30, et le Wara Wara, qui part les dimanches et les mercredis. A Oruro, les rues sont bien organisées autour de l’avenue centrale Av. 6 de Agosto et la Plaza 10 de Febrero, avec une gare de cars, plein de taxi pas chers, et la possibilité de profiter des ballades à pied dans les montagnes voisines.
Présentation
Oruro se trouve à mi-chemin entre La Paz et Sucre dans l’altiplano bolivien, à environ 4000 mètres d’altitude. Bien que sa population de 235.000 habitants a connu des temps difficiles à cause des vicissitudes de l’industrie minière changeante, les hauts et les bas de l’économie n’ont pas altérés son esprit festif, puisque la ville est réputée pour son carnaval, un des évènements folkloriques importants d’Amérique du Sud. Grâce à son carnaval, Oruro attire les touristes, qui deviennent de plus en plus nombreux. Avec des hivers froids et des étés chauds, il est préférable de s’y rendre entre novembre et mars. La monnaie utilisée est le boliviano, l’espagnol est largement parlé. La ville se trouve sur le fuseau horaire de la Bolivie, UTC-4.
La ville de Oruro appartient au département Oruro, à la province Cercado et à la municipalité Oruro.
La ville de Oruro compte 201 230 habitants (recensement de 2012). L'altitude maximum est de 3 735 m, l'altitude moyenne est de 3 706 m.
Le maire de la ville de Oruro est actuellement Rossío Pimentel.
Un habitant de la ville de Oruro est appelé un Orureño. Le nom français de la ville est Oruro, le nom espagnol est Oruro.
La ville de Oruro a été fondée en 1606. Le site Internet de Oruro est http://oruroweb.com
Points ou centres d'intérêts
Cette ancienne fête de 2000 ans est un des évènements principaux inscrits sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco, qui est un mélange séduisant des anciennes traditions indigènes et de rituels chrétiens modernes, dédié à la Vierge de Candelaria, la Vierge Noire qui a été la sainte patronne de la ville depuis son apparition qui a béni les festivités de 1756. Plus de 48 groupes différents de danseurs, spécialisés dans 18 danses différentes, forment une procession qui se dirige vers le Sanctuaire du Tunnel, accompagnés de groupes de musique, avec des jeux mystérieux, beaucoup de nourriture et de boisson, le tout dans un esprit de fête. Avec aussi en particulier, la danse Llama llama, un genre de farce chorégraphique avec des éléments acrobatiques, ainsi que la Diablada, dans laquelle les acteurs portent le costume du diable, dont les origines remontent possiblement au temps du dieu local El Tío. Avec 40.000 visiteurs qui se regroupent tout au long des 6km de la route de la procession, le Carnaval d’Oruro est l’évènement idéal pour en apprendre plus sur la cuture folklorique bolivienne. Le carnaval se déroule tous les ans, dix jours avant le carême.
Une fois par an, cette magnifique petite église devient le centre des activités frénétiques, puisque c’est là que s'arrête la procession du carnaval, mais le reste du temps, cet endroit paisible permet de mieux connaître les traditions d’Oruro. La Vierge de Socavón, ou la Vierge du Tunnel, est appelée ainsi en raison de son rôle de protectrice des mineurs de la ville, qui lui adressent leurs prières depuis le XVIème siècle pour les sauver des risques dangereux du métier. L’actuel bâtiment est une reconstruction du XIXème siècle de l’église d’origine, construite en 1781, mais elle est magnifiquement décorée par un sanctuaire en or, devant lequel les danseurs du carnaval viennent s’agenouiller pour célébrer les victoires sur le diable de l’histoire du carnaval. Vous pouvez visiter le très beau musée de la mine souterraine, voir des masques de carnaval et d'autres objets artisanaux dans le musée des objets folkloriques et religieux, et en apprendre plus sur le dieu démoniaque El Tío, dont des statues se trouvent ici.
Adresse : Calle Baptista bet Adolfo Miel and Junin. Heures d’ouverture : 09h30-11h30, 15h30-17h30
Cette immense statue représente la Vierge de Socavón, de façon très détaillée, portant une couronne montée d’une croix, et avec l’enfant Jésus dans ses bras, et un regard doux dirigé vers les personnes qui sont rassemblées en bas. Avec 45 mètres de hauteur, elle mesure sept mètres de plus que la célèbre statue du Christ à Rio. Elle est construite en ciment, fer et fibre de verre. Située sur une colline au-dessus de la ville, le panorama sur Oruro et sur les paysages alentours sont à couper le souffle, particulièrement après la tombée de la nuit lorsque les lumières de la ville s’allument, bien qu’une veste chaude soit nécessaire à cause du vent glacial de l’altiplano. Néanmoins, la pelouse synthétique et les petits bancs en font un endroit idéal pour un pique-nique, même s’il fait un peu frais, et il est amusant d’essayer de repérer les endroits importants de la ville avec l’aide des habitants locaux. Pour eux, cette gigantesque image de la mère du Christ est une représentation de la piété de la ville, de tradition et de sainteté, et pour les mineurs qui risquent leur vie quotidiennement, elle est le symbole de la croyance et de la foi absolue dans ses pouvoirs de protection.
Les Andes sont la plus longue chaîne montagneuse continentale dans le monde, et elles restent un des derniers espaces sauvages intacts. Ce n’est donc pas étonnant qu’elles abritent une grande variété de vie sauvage indigène, avec de nombreuses espèces uniques qui se sont parfaitement bien adaptées à la vie de cet environnement rude. Zoológico Andino à Oruro,vous propose d’observer de plus près ces magnifiques créatures, avec environ 80 différents animaux individuels, dont 60 % sont d’origine de la région. Il y a de nombreuses espèces charmantes et amusantes, telles que le magnifique et étrange quirquincho, ce tatou des Andes, un mignon animal poilu rose qui a une grande tendance à vouloir creuser. Vous pouvez également voir des lamas, des vigognes, de alpagas, mais aussi apprendre sur leur importance dans l’économie des hauts-plateaux de Bolivie. Il y a aussi une grande diversité de reptiles et d’oiseaux, tels que les puissants condors noirs et des aigles royaux.
Adresse : Calle Tomás Frias et capitán Barriga. Admission: Bs. 2.
Situé juste à côté du zoo, de sorte que vous pouvez facilement visiter les deux dans la journée, le ‘Museo National Antropologico'se concentre sur l’ethnographie et le folklore d’Oruro, et c’est une très bonne introduction à la culture et l’histoire complexe et fascinante de la région. Il se trouve dans un magnifique vieux bâtiment de l’Espagne coloniale, avec comme pièces principales, une collection impressionnante de corps momifiés, des squelettes et des crânes, particulièrement des spécimens de crânes déformés. Il y a également une grande collection de vieilles poteries, et des masques de carnaval et des costumes colorés, c’est donc un endroit propice pour apprendre sur les histoires, les traditions et l’artisanat qui rend cette tradition culturelle vibrante. Fondé en 1959 et géré par l’Etat, le musée présente des objets datant de l’ère précolombienne. Des instruments de musique tels que des flûtes de pan, des petites statues et sculptures de divinités, et des objets tels que des outils en pierre et des bijoux des cultures Wancarani, Chiripa et Chipaya y sont également exposés.
Adresse : Avenida Spain. Admission: Bs. 5.
Prenez le train avec Empresa Ferroviaria Andina pour vous rendre dans la petite ville d’Uyuni, perdue au milieu de nulle part. Autrefois une ville de chemin de fer ennuyeuse, Uyuni est aujourd’hui une destination obligatoire des personnes qui voyagent en Bolivie, grâce à son salar, le plus grand du monde. Avec une surface de 10.000 km², et avec une profondeur allant jusqu’à 10 m, le salar d’Uyuni est un paradis pour les photographes, avec ses lagons claires et lumineux, ses grottes, ses volcans et ses horizons sans fin. Il est possible de réserver des excursions en 4x4 depuis Uyuni, et loger dans des refuges basiques où il peut faire froid, mais avec ciel inoubliable.
Des bus confortables qui ne coûtent pas plus que Bs.90, prennent entre 10 et 14 heures pour se rendre à la frontière du Chili. Iquique possède un duty-free appelé ‘Zofri’, idéal pour faire le plein de chocolat, de produits cosmétiques et d’électronique. Il y a de nombreux sites historiques avec des bâtiments au style architectural colonial, des casinos, des clubs et théâtres, et la cathédrale Parroquia du XVIIIème siècle. Iquique est également réputée pour son soleil et ses magnifiques plages où les surfeurs apprécieront particulièrement les excellentes vagues.
A 25 km au nord-est de la ville, les sources chaudes des ‘Termas de Obrajes’ sont une destination fréquentée pour ceux qui cherchent à se détendre. De haut de gamme, propres et bien organisées, les termes possèdent une grande piscine ainsi que de nombreux petits chalets privés dans lesquels vous pouvez profiter d’un bain à remous. L’entrée est de Bs.2, et vous pouvez prendre un bus à l’arrêt qui se trouve au coin du Caro et de l’Av.6 de Agosto pour vous y rendre.
Ce lac salin peu profond est tellement grand, qu’il occupe toute la moitié est du département d’Oruro. Il est connu pour être l’ « Atlantis bolivien », car l’expansion du lac à travers le bassin Poopó a englouti de nombreux villages. L’archéologie de la région est particulièrement riche, puisque une culture florissante d’élevage de lama et de commerce existait déjà ici, il y a environ 200 avant J.C. De nos jours, ce lac salin abrite une grande variété d’oiseaux, tels que les flamands roses, et le puissant condor des Andes, qui en fait une destination incontournable pour les amoureux de la nature.
Comment y aller ?
Oruro est desservie régulièrement par des cars quotidiens en provenance de La Paz, qui prennent environ quatre heures pour un prix de Bs 15. La Paz détient l’aéroport le plus haut du monde. L’aéroport international El Alto, avec des vols en provenance du Pérou, Colombie, Argentine, Chili et les Etats-Unis, a aussi un grand choix de vols intérieurs. Si vous voulez un vol direct d’Europe, l’aéroport de Viru Viru, situé à Santa Cruz de la Sierra, est la meilleure option avec des vols directs d’Espagne, bien que qu’il soit un peu loin d’Oruro. En voyageant de Bolivie, il y a des cars qui relient Oruro avec des villes telles que Cochabamba, Uyuni et Challapata, et il y a des trains longues-distances vers Uyuni, with the Expreso Sur, qui part les mardis et les vendredis à 3h30, et le Wara Wara, qui part les dimanches et les mercredis. A Oruro, les rues sont bien organisées autour de l’avenue centrale Av. 6 de Agosto et la Plaza 10 de Febrero, avec une gare de cars, plein de taxi pas chers, et la possibilité de profiter des ballades à pied dans les montagnes voisines.