Présentation
Mirkadim est une ville du Bangladesh. Le pays est découpé en divisions et en districts. Mirkadim fait partie de la division de Dhaka et du district de Munshiganj. Lorsque l'on arrive sur place, il est nécessaire d'ajuster sa montre à GMT + 6 (et GMT + 7 durant la période estivale) ainsi que de se procurer des takas, la monnaie officielle. À titre indicatif, il faut posséder une centaine de takas pour avoir en main l'équivalent d'un euro. La langue parlée au Bangladesh est le bengali comme c'est également le cas au sein de l'immense Inde sa voisine. Le climat que l'on trouve à Mirkadim peut se diviser en trois périodes. Il y a tout d'abord la mousson qui a lieu entre les mois de mai et d'octobre. Puis, vient la saison « froide » durant laquelle les températures se trouvent aux environs de vingt degrés Celsius. Finalement, la saison chaude se déploie de mars à mai, période qui voit le mercure monter quotidiennement jusqu'à trente degrés Celsius.
La ville de Mirkadim appartient à la division Dhaka, au district Munshiganj et à l'arrondissement Munshiganj Sadar.
Points ou centres d'intérêts
Un séjour à Mirkadim est l'occasion de très nombreuses visites d'édifices religieux. Peu d'églises à visiter dans la région (une seule dans l'ensemble du district de Munshiganj auquel appartient Mirkadim), mais de très nombreux temples bouddhistes et encore plus de mosquées. Rappelons qu'il est obligatoire de se déchausser avant de débuter la visite de ces dernières afin de respecter les usages de l'islam.
En plus de la visite de toutes ces splendeurs d'architecture et de dévotion, un site en particulier devrait absolument figurer sur l'itinéraire des voyageurs : Bikrampur Vihara. Il s'agit d'un ancien lieu de culte bouddhiste qui fait le bonheur des archéologues et témoigne de l'importance du bouddhisme dans les environs de Mirkadim. Lesdits vestiges seraient vieux de mille ans et l'on estime qu'à cette époque reculée environ huit mille étudiants et professeurs seraient venus de Chine, du Tibet, du Népal et de Thaïlande pour étudier ici, au sein de ce qui était alors le coeur de l'éducation bouddhiste. Cinq cellules de moines ont été totalement mise à jour et une centaine de sculptures ainsi que des idoles ont été découvertes. C'est à voir absolument !
Le fort Idrakpur est un incontournable ! Sa construction remonte à 1660 avant Jésus-Christ durant l'ère moghole. C'était justement pour se protéger des invasions mogholes ainsi que des Portugais que ledit fort a été bâti. La particularité de cet édifice était d'être à l'époque entièrement entouré d'eau. En effet, le fort se trouvait à proximité de la rivière Ichamoti et seuls des accès maritimes étaient envisageables pour s'y rendre. Il s'agissait là d'une stratégie défensive très efficace. Depuis, le cours d'eau a changé de tracé et certaines zones ont été comblées plaçant le fort sur terre. Il subsiste toutefois deux petits étangs autour desquels les visiteurs peuvent se promener. Le fort Idrakpur a été déclaré « Intérêt Archéologique du Bangladesh par les autorités dès 1949. Lors de la visite, on peut constater l'énorme épaisseur des murs des bâtiments ainsi que la présence de multiples meurtrières par lesquelles les soldats guettaient l'ennemi. Une tour permettait aux soldats de se reposer entre deux assauts. Lorsque l'alerte était donnée, les soldats devaient alors emprunter un tunnel que l'on peut encore voir de nos jours.
En suivant la route Kaskir Dorza pendant quelques minutes vers le sud de Mirkadim, on arrive à Bajrozogini. C'est à cet endroit que se trouve Panditer Bhita qui est le lieu de naissance d'Atis Dipankar. Ce personnage revêt une très grande importance pour les gens de la région de Mirkadim. De son véritable nom Atisha Dipankar Srijnan, Atis Dipankar est un philosophe et religieux majeur des dixième et onzième siècles. Longtemps oublié de toutes et tous en raison simplement des vicissitudes de l'histoire, le grand homme a été l'objet de recherches intenses de la part d'un passionné d'histoire et de patrimoine à la fin du 19ième siècle et a ainsi pu retrouver la place qui lui est due dans l'histoire du bouddhisme. Tel le Bouddha lui-même, Atis Dipankar est né dans une famille royale. Il a quitté très tôt sa famille pour recevoir divers enseignements. Il est devenu moine à l'âge de 19 ans. Par la suite, durant toute sa vie, il n'a cessé de voyager sur terre et sur mer afin d'enseigner de multiples matières partout en Asie. Il est l'auteur également de nombreux écrits et a participé à divers chantiers pour améliorer le confort des siens. On le nomme souvent « le second Bouddha ».
Si un seul nom devait être retenu de la vaste et diversifiée cuisine du Bangladesh, ce devrait être, de l'avis de très nombreux gastronomes : Rasgulla. De quoi s'agit-il ? D'un délicieux dessert... totalement addictif ! La base de ce plat sont des boules de « chenna » qui est une sorte de fromage fait de lait fermenté. Le chenna est sucré et on y ajoute aussi un peu de semoule pour que le tout se tienne bien. Puis, les boules sont plongées dans du sirop sucré bouillant de manière à être totalement imprégnées de ce liquide sucré. Certains cuisiniers ajoutent de la cardamome au centre de la boulette pour lui donner un goût spécifique. D'autres choisissent de remplacer le sirop par de l'extrait d'orange et le rasgulla devient alors du « kamala bhog ». Une autre variante peut être réalisée avec du simple lait sucré à la place du sirop et l'on confectionne alors des rasmalais. Une dernière option pour ce plat très prisé dans la région de Mirkadim comme partout ailleurs au Bangladesh consiste à augmenter la taille des boulettes qui ont alors la taille de petits pains ronds et que l'on nomme dès lors des kheer mohan. Bon appétit !
Dhaka est la capitale du Bangladesh et une ville absolument fascinante avec ses 400 000 pousse-pousses, ses 15 millions d'habitants et ses innombrables mosquées. On ne devrait pas manquer d'y visiter Shaheed Minar, monument à la mémoire des victimes des manifestations de 1952 pour la reconnaissance de la langue bengali. Baitul Mukarram, la mosquée nationale devrait elle aussi figurer au programme. Sa splendeur est envoutante ainsi que son immensité. En effet, 30 000 personnes peuvent y prendre place afin d'y prier. C'est à voir absolument !
Dans un tout autre domaine, le shopping à Dhaka est une expérience exceptionnelle à ne manquer sous aucun prétexte. Bashundara City, Jamura Future Park et Shimanto Squre entre autres sont des lieux qu'aucune fashionista ne devrait manquer de visiter. C'est l'occasion, par exemple, de se procurer l'un de ces fameux saris traditionnels aux couleurs et aux motifs lumineux et confectionnés dans des étoffes soyeuses. Le nec plus ultra en termes de saris est le jamdani que l'on confectionne entièrement à la main à Dhaka depuis des siècles. Cet art traditionnel du tissage a d'ailleurs été déclaré « patrimoine immatériel de l'humanité » par l'UNESCO. Il est intéressant de savoir que la confection d'un tel vêtement peut prendre jusqu'à trois mois.
Meghna Village Holiday Resort est un lieu magique au sein duquel on ne voit pas le temps passer. Entre les parties de cricket, de basket-ball et de badminton, les croisières sur la rivière et les différents spectacles auxquels on peut assister ici, les journées semblent toujours trop courtes !
Coordonnées
Adresse : Environ un kilomètre après le pont Meghna sur l'autoroute N1 Dhaka-Chittagong vers le sud. Il est nécessaire depuis Mirkadim de se rendre en premier lieu à Sonargaon (environ une heure). Puis, de finaliser le trajet en franchissant le pont Meghna et en s'engageant ensuite sur la route du complexe récréatif.
Téléphone : 01718-471961
E-Mail : meghnavillageresort@gmail.com
Site internet : http://meghnavillage.webs.com/
Une excursion à Comilla permet de visiter la splendide région qui se trouve à l'est de Mirkadim. Le voyage vers cette petite ville dure environ deux heures et trente minutes par la route. On parvient alors dans l'endroit qui a vu naître Buddhadeb Bosu, l'un des écrivains bengalis majeurs du vingtième siècle. On lui doit de nombreux romans, poèmes, pièces de théâtres et essais. Il fut également à l'origine de la traduction en bengali au cours de l'année 1961 de nombreux poèmes de Charles Baudelaire. Buddhadeb Bosu a reçu de très nombreux prix littéraires.
Connaissez-vous le kabaddi ? C'est un sport d'équipe très populaire au Bangladesh. Si on vous propose une partie, acceptez, vous allez adorer ! Le terme kabaddi peut se traduire approximativement par « retenir son souffle »ce qui constitue en effet un élément important du jeu. Durant ce dernier, un « raider » part affronter l'équipe adverse et doit ensuite revenir dans son camp. La défense tente de l'en empêcher et il doit y parvenir avant d'arrêter de retenir son souffle sous peine d'élimination. Ce sport fait l'objet de multiples compétitions entre autres lors des Jeux asiatiques organisés tous les 4 ans par le conseil olympique d'Asie.
Nakshi kantha est une autre de ces techniques ancestrales qui font la grandeur du Bangladesh. Ici, l'on parle d'une sorte de courtepointe brodée que l'on confectionnait à l'origine à base de morceaux de tissus usagés. C'est un peu similaire à ce que l'on appelle du patchwork dans d'autres pays. La technique est ici très développée et divers motifs sont récurrents dans les ouvrages : lotus, soleil, lune, roue et arbre de vie. Les usages desdits Nakshi kantha sont multiples : couvre-lit, coussin, tapis de prière, taie d'oreiller, châles. De quoi faire de fabuleux cadeaux et souvenirs de voyage !
Comment y aller ?
En avion
L'aéroport le plus proche de Mirkadim est celui de la ville de Dhaka qui se nomme Hazrat Shahjalal.
Site internet OFFICIEL de l'aéroport Hazrat Shahjalal de Dhaka : http://www.caab.gov.bd/adinfo/adinfo0.html (en anglais uniquement)
Site internet NON-OFFICIEL de l'aéroport Hazrat Shahjalal de Dhaka : http://shahjalalairport.com/ (en anglais uniquement)
En voiture
Au Bangladesh en général et donc dans la région de Mirkadim également, il est presque impossible de louer «seulement» une voiture. Le principe dans tout le pays est de louer celle-ci avec son chauffeur. On peut donc presque parler de taxi à grande échelle et pour de longues distances. Il est bon de savoir que les tarifs de ce mode de transport sont très avantageux. C'est donc une option à retenir.
En train
Les voyages en train sont relativement peu chers dans tout le pays. Toutefois, il est rare de pouvoir effectuer la totalité d'un trajet par le train en raison de nombreux cours d'eau qui ne possèdent pas de pont et qui nécessitent donc de prendre le ferry. IMPORTANT ! L'espacement des rails des réseaux ferroviaires de l'est et de l'ouest est différent. Cette contrainte implique des changements supplémentaires.
Site internet des chemins de fer du Bangladesh : http://www.railway.gov.bd/
Présentation
Mirkadim est une ville du Bangladesh. Le pays est découpé en divisions et en districts. Mirkadim fait partie de la division de Dhaka et du district de Munshiganj. Lorsque l'on arrive sur place, il est nécessaire d'ajuster sa montre à GMT + 6 (et GMT + 7 durant la période estivale) ainsi que de se procurer des takas, la monnaie officielle. À titre indicatif, il faut posséder une centaine de takas pour avoir en main l'équivalent d'un euro. La langue parlée au Bangladesh est le bengali comme c'est également le cas au sein de l'immense Inde sa voisine. Le climat que l'on trouve à Mirkadim peut se diviser en trois périodes. Il y a tout d'abord la mousson qui a lieu entre les mois de mai et d'octobre. Puis, vient la saison « froide » durant laquelle les températures se trouvent aux environs de vingt degrés Celsius. Finalement, la saison chaude se déploie de mars à mai, période qui voit le mercure monter quotidiennement jusqu'à trente degrés Celsius.
La ville de Mirkadim appartient à la division Dhaka, au district Munshiganj et à l'arrondissement Munshiganj Sadar.
Points ou centres d'intérêts
Un séjour à Mirkadim est l'occasion de très nombreuses visites d'édifices religieux. Peu d'églises à visiter dans la région (une seule dans l'ensemble du district de Munshiganj auquel appartient Mirkadim), mais de très nombreux temples bouddhistes et encore plus de mosquées. Rappelons qu'il est obligatoire de se déchausser avant de débuter la visite de ces dernières afin de respecter les usages de l'islam.
En plus de la visite de toutes ces splendeurs d'architecture et de dévotion, un site en particulier devrait absolument figurer sur l'itinéraire des voyageurs : Bikrampur Vihara. Il s'agit d'un ancien lieu de culte bouddhiste qui fait le bonheur des archéologues et témoigne de l'importance du bouddhisme dans les environs de Mirkadim. Lesdits vestiges seraient vieux de mille ans et l'on estime qu'à cette époque reculée environ huit mille étudiants et professeurs seraient venus de Chine, du Tibet, du Népal et de Thaïlande pour étudier ici, au sein de ce qui était alors le coeur de l'éducation bouddhiste. Cinq cellules de moines ont été totalement mise à jour et une centaine de sculptures ainsi que des idoles ont été découvertes. C'est à voir absolument !
Le fort Idrakpur est un incontournable ! Sa construction remonte à 1660 avant Jésus-Christ durant l'ère moghole. C'était justement pour se protéger des invasions mogholes ainsi que des Portugais que ledit fort a été bâti. La particularité de cet édifice était d'être à l'époque entièrement entouré d'eau. En effet, le fort se trouvait à proximité de la rivière Ichamoti et seuls des accès maritimes étaient envisageables pour s'y rendre. Il s'agissait là d'une stratégie défensive très efficace. Depuis, le cours d'eau a changé de tracé et certaines zones ont été comblées plaçant le fort sur terre. Il subsiste toutefois deux petits étangs autour desquels les visiteurs peuvent se promener. Le fort Idrakpur a été déclaré « Intérêt Archéologique du Bangladesh par les autorités dès 1949. Lors de la visite, on peut constater l'énorme épaisseur des murs des bâtiments ainsi que la présence de multiples meurtrières par lesquelles les soldats guettaient l'ennemi. Une tour permettait aux soldats de se reposer entre deux assauts. Lorsque l'alerte était donnée, les soldats devaient alors emprunter un tunnel que l'on peut encore voir de nos jours.
En suivant la route Kaskir Dorza pendant quelques minutes vers le sud de Mirkadim, on arrive à Bajrozogini. C'est à cet endroit que se trouve Panditer Bhita qui est le lieu de naissance d'Atis Dipankar. Ce personnage revêt une très grande importance pour les gens de la région de Mirkadim. De son véritable nom Atisha Dipankar Srijnan, Atis Dipankar est un philosophe et religieux majeur des dixième et onzième siècles. Longtemps oublié de toutes et tous en raison simplement des vicissitudes de l'histoire, le grand homme a été l'objet de recherches intenses de la part d'un passionné d'histoire et de patrimoine à la fin du 19ième siècle et a ainsi pu retrouver la place qui lui est due dans l'histoire du bouddhisme. Tel le Bouddha lui-même, Atis Dipankar est né dans une famille royale. Il a quitté très tôt sa famille pour recevoir divers enseignements. Il est devenu moine à l'âge de 19 ans. Par la suite, durant toute sa vie, il n'a cessé de voyager sur terre et sur mer afin d'enseigner de multiples matières partout en Asie. Il est l'auteur également de nombreux écrits et a participé à divers chantiers pour améliorer le confort des siens. On le nomme souvent « le second Bouddha ».
Si un seul nom devait être retenu de la vaste et diversifiée cuisine du Bangladesh, ce devrait être, de l'avis de très nombreux gastronomes : Rasgulla. De quoi s'agit-il ? D'un délicieux dessert... totalement addictif ! La base de ce plat sont des boules de « chenna » qui est une sorte de fromage fait de lait fermenté. Le chenna est sucré et on y ajoute aussi un peu de semoule pour que le tout se tienne bien. Puis, les boules sont plongées dans du sirop sucré bouillant de manière à être totalement imprégnées de ce liquide sucré. Certains cuisiniers ajoutent de la cardamome au centre de la boulette pour lui donner un goût spécifique. D'autres choisissent de remplacer le sirop par de l'extrait d'orange et le rasgulla devient alors du « kamala bhog ». Une autre variante peut être réalisée avec du simple lait sucré à la place du sirop et l'on confectionne alors des rasmalais. Une dernière option pour ce plat très prisé dans la région de Mirkadim comme partout ailleurs au Bangladesh consiste à augmenter la taille des boulettes qui ont alors la taille de petits pains ronds et que l'on nomme dès lors des kheer mohan. Bon appétit !
Dhaka est la capitale du Bangladesh et une ville absolument fascinante avec ses 400 000 pousse-pousses, ses 15 millions d'habitants et ses innombrables mosquées. On ne devrait pas manquer d'y visiter Shaheed Minar, monument à la mémoire des victimes des manifestations de 1952 pour la reconnaissance de la langue bengali. Baitul Mukarram, la mosquée nationale devrait elle aussi figurer au programme. Sa splendeur est envoutante ainsi que son immensité. En effet, 30 000 personnes peuvent y prendre place afin d'y prier. C'est à voir absolument !
Dans un tout autre domaine, le shopping à Dhaka est une expérience exceptionnelle à ne manquer sous aucun prétexte. Bashundara City, Jamura Future Park et Shimanto Squre entre autres sont des lieux qu'aucune fashionista ne devrait manquer de visiter. C'est l'occasion, par exemple, de se procurer l'un de ces fameux saris traditionnels aux couleurs et aux motifs lumineux et confectionnés dans des étoffes soyeuses. Le nec plus ultra en termes de saris est le jamdani que l'on confectionne entièrement à la main à Dhaka depuis des siècles. Cet art traditionnel du tissage a d'ailleurs été déclaré « patrimoine immatériel de l'humanité » par l'UNESCO. Il est intéressant de savoir que la confection d'un tel vêtement peut prendre jusqu'à trois mois.
Meghna Village Holiday Resort est un lieu magique au sein duquel on ne voit pas le temps passer. Entre les parties de cricket, de basket-ball et de badminton, les croisières sur la rivière et les différents spectacles auxquels on peut assister ici, les journées semblent toujours trop courtes !
Coordonnées
Adresse : Environ un kilomètre après le pont Meghna sur l'autoroute N1 Dhaka-Chittagong vers le sud. Il est nécessaire depuis Mirkadim de se rendre en premier lieu à Sonargaon (environ une heure). Puis, de finaliser le trajet en franchissant le pont Meghna et en s'engageant ensuite sur la route du complexe récréatif.
Téléphone : 01718-471961
E-Mail : meghnavillageresort@gmail.com
Site internet : http://meghnavillage.webs.com/
Une excursion à Comilla permet de visiter la splendide région qui se trouve à l'est de Mirkadim. Le voyage vers cette petite ville dure environ deux heures et trente minutes par la route. On parvient alors dans l'endroit qui a vu naître Buddhadeb Bosu, l'un des écrivains bengalis majeurs du vingtième siècle. On lui doit de nombreux romans, poèmes, pièces de théâtres et essais. Il fut également à l'origine de la traduction en bengali au cours de l'année 1961 de nombreux poèmes de Charles Baudelaire. Buddhadeb Bosu a reçu de très nombreux prix littéraires.
Connaissez-vous le kabaddi ? C'est un sport d'équipe très populaire au Bangladesh. Si on vous propose une partie, acceptez, vous allez adorer ! Le terme kabaddi peut se traduire approximativement par « retenir son souffle »ce qui constitue en effet un élément important du jeu. Durant ce dernier, un « raider » part affronter l'équipe adverse et doit ensuite revenir dans son camp. La défense tente de l'en empêcher et il doit y parvenir avant d'arrêter de retenir son souffle sous peine d'élimination. Ce sport fait l'objet de multiples compétitions entre autres lors des Jeux asiatiques organisés tous les 4 ans par le conseil olympique d'Asie.
Nakshi kantha est une autre de ces techniques ancestrales qui font la grandeur du Bangladesh. Ici, l'on parle d'une sorte de courtepointe brodée que l'on confectionnait à l'origine à base de morceaux de tissus usagés. C'est un peu similaire à ce que l'on appelle du patchwork dans d'autres pays. La technique est ici très développée et divers motifs sont récurrents dans les ouvrages : lotus, soleil, lune, roue et arbre de vie. Les usages desdits Nakshi kantha sont multiples : couvre-lit, coussin, tapis de prière, taie d'oreiller, châles. De quoi faire de fabuleux cadeaux et souvenirs de voyage !
Comment y aller ?
En avion
L'aéroport le plus proche de Mirkadim est celui de la ville de Dhaka qui se nomme Hazrat Shahjalal.
Site internet OFFICIEL de l'aéroport Hazrat Shahjalal de Dhaka : http://www.caab.gov.bd/adinfo/adinfo0.html (en anglais uniquement)
Site internet NON-OFFICIEL de l'aéroport Hazrat Shahjalal de Dhaka : http://shahjalalairport.com/ (en anglais uniquement)
En voiture
Au Bangladesh en général et donc dans la région de Mirkadim également, il est presque impossible de louer «seulement» une voiture. Le principe dans tout le pays est de louer celle-ci avec son chauffeur. On peut donc presque parler de taxi à grande échelle et pour de longues distances. Il est bon de savoir que les tarifs de ce mode de transport sont très avantageux. C'est donc une option à retenir.
En train
Les voyages en train sont relativement peu chers dans tout le pays. Toutefois, il est rare de pouvoir effectuer la totalité d'un trajet par le train en raison de nombreux cours d'eau qui ne possèdent pas de pont et qui nécessitent donc de prendre le ferry. IMPORTANT ! L'espacement des rails des réseaux ferroviaires de l'est et de l'ouest est différent. Cette contrainte implique des changements supplémentaires.
Site internet des chemins de fer du Bangladesh : http://www.railway.gov.bd/