Présentation
Stellenbosch se situe au sud-ouest de l'Afrique du sud à cinquante kilomètres du Cap. Au bord de la Eerste rivière - appelée également cité des chênes - c'est à la fois une ville de 100 000 habitants et une municipalité locale de 200 000 habitants, composée de Stellenbosch, de Franschhoek, de Nuweberg et de Pniel, et la deuxième plus ancienne ville du pays. La municipalité appartient au district des vignobles du Cap. Dans cette ville au passé douloureux, les merveilles touristiques se succèdent pour assurer à ceux qui s'y rendent un séjour riche en découvertes.
La ville de Stellenbosch appartient à la province Western Cape, au district Cape Winelands (DC2) et à la municipalité Stellenbosch.
La ville de Stellenbosch s'étend sur 831 km² et compte 200 524 habitants (recensement de 2007) pour une densité de 241,30 habitants par km². L'altitude moyenne est de 136 m.
Le maire de la ville de Stellenbosch est actuellement Conrad Sidego.
Le nom français de la ville est Stellenbosch, le nom anglais de la ville est Stellenbosch.
Le surnom de la ville est "Eikestad".
Points ou centres d'intérêts
On peut faire remonter à loin l'existence de la ville de Stellenbosch, dans la mesure où des traces du monde préhistorique ont été retrouvées sur place. Toutefois c'est en 1679 que la ville, telle qu'on la connaît aujourd'hui, fut fondée par le deuxième gouverneur de la colonie du Cap, Simon Van der Stel. C'est d'ailleurs de son fondateur que la ville tient son nom. Simon van der Stel choisit a l'époque de s'installer ici en raison de la présence d'une rivière et de terres fertiles. Quelques années plus tard, en 1688, ce sont les Huguenots qui s'installent a Stellenbosch pour y développer l'industrie viticole. En accueillant en 1863 le séminaire protestant, Stellenbosch va se révéler comme l'une des villes les plus afrikaners de la colonie du Cap. Les afrikaners sont les sud-africains blancs ayant des origines néerlandaise, française, allemande ou scandinave. La langue parlée par les afrikaners est l'afrikaans, dialecte dérivé du néerlandais. L'émergence du nationalisme afrikaner de traduit par la création du parti national - dont le nom évoluera au fil de son existence - parti politique d'Afrique du sud. Tout au long du XXème siècle, de 1914, année de sa création, jusqu'en 1997, année de sa dissolution, le parti national fera de Stellenbosch son bastion. A partir de 1918, des squatters prennent place dans un quartier surnommé "kafferland". Par la suite, le quartier devient le township de Kayamadi, destiné a accueillir les gens de couleurs. Il s'agit alors de respecter un des préceptes de l'apartheid, mis en place par le parti national en 1948 et de séparer les habitants de la ville dans des quartiers distincts en fonction de leur couleur de peau. Il faut attendre 1994 pour voir monter différents partis d'oppositions. A partir de cette époque et avec la fin de l'apartheid, la ville prend une autre dimension et révèle des trésors touristiques attirant toujours plus de touristes.
La ville de Stellenbosch a beaucoup a offrir à ceux qui ont choisi de venir y passer quelques jours. Des édifices de style Cape Dutch aux rues bordées de chênes centenaires en passant par son campus universitaire et les vignobles de la région... il y a tant de choses a faire dans cette ville ! La plus ancienne route de la ville, Dorp Street, est l'ancienne route principale que l'on empruntait pour se rendre au Cap. Cette route est bordée d'édifices coloniaux datant du XVIIIème et du XIXème siècle. On retrouve ainsi la "Old Reading Room" qui accueillit, en 1864, 43 habitants de la ville réunis pour discuter de l’ouverture du Stellenbosch Gymnasium. Parmi les églises de la ville, qu’elles se trouvent sur Dorp Street ou vers le « Braak » (esplanade aux couleurs verdoyantes où se déroulaient autrefois les défilés militaires), on peut citer la vieille église luthérienne datant de 1851, l'église des missionnaires du Rhin de 1823 et l'église Moederkerk (conçue dans un style neo-gothique et emblème historique de la ville). Charmant petit édifice construit en briques et blanchies à la chaux, au toit de chaume et aux petits vitraux, l'église anglicane Ste Mary a quant à elle été déclarée monument historique en 1966. Les autres monuments incontournables de Dorp Street sont le "Kolonieshuis", maison coloniale où se trouvent les restes de la plus vieille habitation de la ville, le "Voorgelegen", bâti en un an par Johannes Victor en 1797. Ce dernier abrite aujourd’hui le Stellenbosch Museum. Ne pas manquer également la maison de La Gratitude datant de 1798... Cette propriété appartenait à la famille Borcherd dont le père était ministre de l’Eglise hollandaise réformée. A voir aussi : la Libertas Parva datant de 1793, ferme rénové possédant le seul pignon central baroque datant d’avant 1790 de toute la ville et abritant de nos jours le musée d’art Van Rijn Rembrandt, et enfin, le Oude Meester Wine Museum, musée de la vigne et du vin retraçant les méthodes de vinification des premiers colons français et hollandais. En revenant vers l’esplanade du « Braak », on y retrouve l'arsenal, à l’époque dépôt de munitions et aujourd’hui musée militaire. Enfin on peut aussi se rendre a la maison Grosvenor, datant de 1786, et qui abrite une partie du "Stellenbosch Village Museum" où se dessinent des maisons de style hollandais dans leur état d'origine allant du XVIIème au XIXème siècle. Outre cette pléiade de monuments historiques, ce qui fait la richesse de la région ce sont avant tout ses vignobles.
Avec les vallées de Paarl et de Franschhoek, la vallée de Stellenbosch constitue le Cape Winelands. L’association de ces trois vallées en fait la première région viticole d’Afrique du Sud. La route des vins de Stellenbosch, créée en 1971 constitue un atout majeur pour la ville. On compte sur la route des vins de Stellenbosch à peu près 200 viticulteurs et producteurs de raisins. Il est d’ailleurs possible que certains de ces viticulteurs aient été formés dans l’un des deux centres de formation des vignerons et viticulteurs d’Afrique du Sud, qui se trouve également à Stellenbosch. Pour asseoir davantage la réputation de la ville en matière de vin, a été fondée en 2002, la Stellenbosch American Express Routes des Vins. Cette dernière relie pas moins de 148 établissements viticoles, permettant à tous de vivre une expérience unique dans chacun de ces établissements. Lors du parcours sur la route des vins de Stellenbosch, les visiteurs auront l’occasion de participer à des dégustations de « vins d’origine » de la ville, de prendre part à des visites de caves ou de faire des achats de vin, après avoir découvert celui qui correspond le mieux à ses goûts et ses envies. La Stellenbosch American Express Routes des Vins permet à Stellenbosch de faire partie du réseau mondial Wine Capitals, réseau des dix villes majeures et les plus importantes concernant l’industrie viticole. Mais nombreux seront ceux à dire qu’un bon vin se doit d’accompagner un bon repas. Ainsi il serait temps d’aborder le sujet des spécialités culinaires de la ville et plus globalement de la région. En ce qui concerne les plats, trois sont à citer et à goûter si l’on veut savourer la cuisine locale dite « Cape Malay ». Le premier plat est le biltong préparé à base de viande de bœuf ou de viande d’autruche, que l’on découpe en fines lamelles et que l’on laisse sécher. Le second plat est le bobotie, plat qui date du XVIIème siècle, cuisiné comme un gratin avec de la viande hachée, de la crème, des épices orientales comme le curry et des fruits cuits. Enfin, le troisième plat est le waterblommetje berdie, ragoût typique préparé avec de la viande d’agneau ou de la viande de mouton, assaisonnée avec une fleur aquatique et servi avec des pommes de terre, de l’oseille et toujours des épices orientales. Pour les boissons typiques autre que le vin il y a le rooibos – plante qui se boit en thé ou en infusion – et l’amarula – liqueur issu d’un arbre appelé Marula – pour ne citer que les plus connus.
C'est Stellenbosch qui a la chance d'accueillir l'équipe nationale de rugby à XV, les Springboks. Depuis 1902, c'est ici que l'équipe évolue et s'entraîne, au stade de l'université de Stellenbosch. Le collège a été créé en 1886, il devient ensuite grand centre universitaire pour enfin devenir l'université de Stellenbosch en 1918. L'équipe des Springboks fait partie des meilleures sélections nationales au monde. Si l'équipe a du subir l'isolement pendant la période de l'apartheid, elle a rapidement repris le dessus et a été sacrée deux fois championne du monde en 1995 et 2007, année ou la France accueillait la coupe du monde de rugby. Véritable sport national le rugby fait partie de la vie quotidienne des locaux. On ne manquera pas, lors de son séjour, de se rendre au stade ou de visionner un match dans un des bars de la ville. Le hockey sur gazon est un autre sport très apprécié de la population locale. Les visiteurs auront peut-être l'occasion d’assister à un match lors de leur séjour sur place.
Comment y aller ?
L’aéroport international le plus proche est celui du Cap, à environ 35 minutes en voiture de Stellenbosch. Un service de navettes dirigé par l’aéroport permet de rejoindre la ville. Si les touristes ne souhaitent pas rejoindre Stellenbosch à partir de l’aéroport mais à partir du centre-ville du Cap, ils pourront se déplacer en bus. On peut aussi rejoindre le centre en voiture de location en prenant l’autoroute N1 (sortie R304 en direction de Stellenbosch) considérée comme la plus sûre des deux, en particulier la nuit ou l’autoroute N2 (sortie R310). La dernière solution est le train, qui relie Le Cap et Stellenbosch en passant par Belleville et dont l’avantage principal est d’être peu excessif et sûr. Pour ce qui est des déplacements sur place, la taille relativement petite de la ville incite les voyageurs à se promener à pied. Attention : il n’y a pas de panneaux de rues dans la ville, les noms des rues sont indiqués en jaune et en afrikaans sur le bord des trottoirs. Enfin, concernant l’hébergement, de nombreux hôtels sont présents dans la ville et savent s’adapter à tous les types de clientèles et à tous les budgets.
Présentation
Stellenbosch se situe au sud-ouest de l'Afrique du sud à cinquante kilomètres du Cap. Au bord de la Eerste rivière - appelée également cité des chênes - c'est à la fois une ville de 100 000 habitants et une municipalité locale de 200 000 habitants, composée de Stellenbosch, de Franschhoek, de Nuweberg et de Pniel, et la deuxième plus ancienne ville du pays. La municipalité appartient au district des vignobles du Cap. Dans cette ville au passé douloureux, les merveilles touristiques se succèdent pour assurer à ceux qui s'y rendent un séjour riche en découvertes.
La ville de Stellenbosch appartient à la province Western Cape, au district Cape Winelands (DC2) et à la municipalité Stellenbosch.
La ville de Stellenbosch s'étend sur 831 km² et compte 200 524 habitants (recensement de 2007) pour une densité de 241,30 habitants par km². L'altitude moyenne est de 136 m.
Le maire de la ville de Stellenbosch est actuellement Conrad Sidego.
Le nom français de la ville est Stellenbosch, le nom anglais de la ville est Stellenbosch.
Le surnom de la ville est "Eikestad".
Points ou centres d'intérêts
On peut faire remonter à loin l'existence de la ville de Stellenbosch, dans la mesure où des traces du monde préhistorique ont été retrouvées sur place. Toutefois c'est en 1679 que la ville, telle qu'on la connaît aujourd'hui, fut fondée par le deuxième gouverneur de la colonie du Cap, Simon Van der Stel. C'est d'ailleurs de son fondateur que la ville tient son nom. Simon van der Stel choisit a l'époque de s'installer ici en raison de la présence d'une rivière et de terres fertiles. Quelques années plus tard, en 1688, ce sont les Huguenots qui s'installent a Stellenbosch pour y développer l'industrie viticole. En accueillant en 1863 le séminaire protestant, Stellenbosch va se révéler comme l'une des villes les plus afrikaners de la colonie du Cap. Les afrikaners sont les sud-africains blancs ayant des origines néerlandaise, française, allemande ou scandinave. La langue parlée par les afrikaners est l'afrikaans, dialecte dérivé du néerlandais. L'émergence du nationalisme afrikaner de traduit par la création du parti national - dont le nom évoluera au fil de son existence - parti politique d'Afrique du sud. Tout au long du XXème siècle, de 1914, année de sa création, jusqu'en 1997, année de sa dissolution, le parti national fera de Stellenbosch son bastion. A partir de 1918, des squatters prennent place dans un quartier surnommé "kafferland". Par la suite, le quartier devient le township de Kayamadi, destiné a accueillir les gens de couleurs. Il s'agit alors de respecter un des préceptes de l'apartheid, mis en place par le parti national en 1948 et de séparer les habitants de la ville dans des quartiers distincts en fonction de leur couleur de peau. Il faut attendre 1994 pour voir monter différents partis d'oppositions. A partir de cette époque et avec la fin de l'apartheid, la ville prend une autre dimension et révèle des trésors touristiques attirant toujours plus de touristes.
La ville de Stellenbosch a beaucoup a offrir à ceux qui ont choisi de venir y passer quelques jours. Des édifices de style Cape Dutch aux rues bordées de chênes centenaires en passant par son campus universitaire et les vignobles de la région... il y a tant de choses a faire dans cette ville ! La plus ancienne route de la ville, Dorp Street, est l'ancienne route principale que l'on empruntait pour se rendre au Cap. Cette route est bordée d'édifices coloniaux datant du XVIIIème et du XIXème siècle. On retrouve ainsi la "Old Reading Room" qui accueillit, en 1864, 43 habitants de la ville réunis pour discuter de l’ouverture du Stellenbosch Gymnasium. Parmi les églises de la ville, qu’elles se trouvent sur Dorp Street ou vers le « Braak » (esplanade aux couleurs verdoyantes où se déroulaient autrefois les défilés militaires), on peut citer la vieille église luthérienne datant de 1851, l'église des missionnaires du Rhin de 1823 et l'église Moederkerk (conçue dans un style neo-gothique et emblème historique de la ville). Charmant petit édifice construit en briques et blanchies à la chaux, au toit de chaume et aux petits vitraux, l'église anglicane Ste Mary a quant à elle été déclarée monument historique en 1966. Les autres monuments incontournables de Dorp Street sont le "Kolonieshuis", maison coloniale où se trouvent les restes de la plus vieille habitation de la ville, le "Voorgelegen", bâti en un an par Johannes Victor en 1797. Ce dernier abrite aujourd’hui le Stellenbosch Museum. Ne pas manquer également la maison de La Gratitude datant de 1798... Cette propriété appartenait à la famille Borcherd dont le père était ministre de l’Eglise hollandaise réformée. A voir aussi : la Libertas Parva datant de 1793, ferme rénové possédant le seul pignon central baroque datant d’avant 1790 de toute la ville et abritant de nos jours le musée d’art Van Rijn Rembrandt, et enfin, le Oude Meester Wine Museum, musée de la vigne et du vin retraçant les méthodes de vinification des premiers colons français et hollandais. En revenant vers l’esplanade du « Braak », on y retrouve l'arsenal, à l’époque dépôt de munitions et aujourd’hui musée militaire. Enfin on peut aussi se rendre a la maison Grosvenor, datant de 1786, et qui abrite une partie du "Stellenbosch Village Museum" où se dessinent des maisons de style hollandais dans leur état d'origine allant du XVIIème au XIXème siècle. Outre cette pléiade de monuments historiques, ce qui fait la richesse de la région ce sont avant tout ses vignobles.
Avec les vallées de Paarl et de Franschhoek, la vallée de Stellenbosch constitue le Cape Winelands. L’association de ces trois vallées en fait la première région viticole d’Afrique du Sud. La route des vins de Stellenbosch, créée en 1971 constitue un atout majeur pour la ville. On compte sur la route des vins de Stellenbosch à peu près 200 viticulteurs et producteurs de raisins. Il est d’ailleurs possible que certains de ces viticulteurs aient été formés dans l’un des deux centres de formation des vignerons et viticulteurs d’Afrique du Sud, qui se trouve également à Stellenbosch. Pour asseoir davantage la réputation de la ville en matière de vin, a été fondée en 2002, la Stellenbosch American Express Routes des Vins. Cette dernière relie pas moins de 148 établissements viticoles, permettant à tous de vivre une expérience unique dans chacun de ces établissements. Lors du parcours sur la route des vins de Stellenbosch, les visiteurs auront l’occasion de participer à des dégustations de « vins d’origine » de la ville, de prendre part à des visites de caves ou de faire des achats de vin, après avoir découvert celui qui correspond le mieux à ses goûts et ses envies. La Stellenbosch American Express Routes des Vins permet à Stellenbosch de faire partie du réseau mondial Wine Capitals, réseau des dix villes majeures et les plus importantes concernant l’industrie viticole. Mais nombreux seront ceux à dire qu’un bon vin se doit d’accompagner un bon repas. Ainsi il serait temps d’aborder le sujet des spécialités culinaires de la ville et plus globalement de la région. En ce qui concerne les plats, trois sont à citer et à goûter si l’on veut savourer la cuisine locale dite « Cape Malay ». Le premier plat est le biltong préparé à base de viande de bœuf ou de viande d’autruche, que l’on découpe en fines lamelles et que l’on laisse sécher. Le second plat est le bobotie, plat qui date du XVIIème siècle, cuisiné comme un gratin avec de la viande hachée, de la crème, des épices orientales comme le curry et des fruits cuits. Enfin, le troisième plat est le waterblommetje berdie, ragoût typique préparé avec de la viande d’agneau ou de la viande de mouton, assaisonnée avec une fleur aquatique et servi avec des pommes de terre, de l’oseille et toujours des épices orientales. Pour les boissons typiques autre que le vin il y a le rooibos – plante qui se boit en thé ou en infusion – et l’amarula – liqueur issu d’un arbre appelé Marula – pour ne citer que les plus connus.
C'est Stellenbosch qui a la chance d'accueillir l'équipe nationale de rugby à XV, les Springboks. Depuis 1902, c'est ici que l'équipe évolue et s'entraîne, au stade de l'université de Stellenbosch. Le collège a été créé en 1886, il devient ensuite grand centre universitaire pour enfin devenir l'université de Stellenbosch en 1918. L'équipe des Springboks fait partie des meilleures sélections nationales au monde. Si l'équipe a du subir l'isolement pendant la période de l'apartheid, elle a rapidement repris le dessus et a été sacrée deux fois championne du monde en 1995 et 2007, année ou la France accueillait la coupe du monde de rugby. Véritable sport national le rugby fait partie de la vie quotidienne des locaux. On ne manquera pas, lors de son séjour, de se rendre au stade ou de visionner un match dans un des bars de la ville. Le hockey sur gazon est un autre sport très apprécié de la population locale. Les visiteurs auront peut-être l'occasion d’assister à un match lors de leur séjour sur place.
Comment y aller ?
L’aéroport international le plus proche est celui du Cap, à environ 35 minutes en voiture de Stellenbosch. Un service de navettes dirigé par l’aéroport permet de rejoindre la ville. Si les touristes ne souhaitent pas rejoindre Stellenbosch à partir de l’aéroport mais à partir du centre-ville du Cap, ils pourront se déplacer en bus. On peut aussi rejoindre le centre en voiture de location en prenant l’autoroute N1 (sortie R304 en direction de Stellenbosch) considérée comme la plus sûre des deux, en particulier la nuit ou l’autoroute N2 (sortie R310). La dernière solution est le train, qui relie Le Cap et Stellenbosch en passant par Belleville et dont l’avantage principal est d’être peu excessif et sûr. Pour ce qui est des déplacements sur place, la taille relativement petite de la ville incite les voyageurs à se promener à pied. Attention : il n’y a pas de panneaux de rues dans la ville, les noms des rues sont indiqués en jaune et en afrikaans sur le bord des trottoirs. Enfin, concernant l’hébergement, de nombreux hôtels sont présents dans la ville et savent s’adapter à tous les types de clientèles et à tous les budgets.